1. Suspecte


    Datte: 22/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... mal, tellement il la sert près du corps. Elle est devant moi allongée, en soutien gorge et string blancs. Son regard semble implorer mes mains et ma bouche pour qu’elles se posent sur elle Je profite encore quelques secondes de la vue d’ensemble de son corps. Elle est magnifique, une grosse poitrine de belles cuisses, avec juste un tout petit peu de cellulite sur les fesses, juste ce qu’il faut pour que ça ne soit pas disgracieux. On ne peut pas tout avoir, les formes rebondies et une peau de bébé. Je fais sauter le soutien gorge et le string, écarte ses cuisses et m’occupe de son minou épilé, le caressant du bout du doigt d’abord, puis le léchant, puis mordillant et suçant son clitoris tout dur. Ma langue court sur sa fente. Elle mouille au moins autant que moi tout à l’heure. Elle gémit en se pinçant les tétons. Elle est sublime. Tout en dégustant son sexe, je la mange également du regard. Ses yeux sont dans les miens, on ne se lâche pas du regard. Je ne vous ai pas dis, mais elle a de beaux yeux verts. Avant qu’elle ne jouisse je me relève, l’enjambe, m’accroupie sur elle, mon sexe sur son visage et sa bouche, je m’allonge pour trouver le sien. Elle écarte ses cuisses. Nous allons jouir ensemble en 69. Nos doigts cherchent nos vagins et nos petits trous respectifs pour accentuer la caresse. ...
    ... L’orgasme vient, plutôt pas mal synchronisé. Je suis expressive en général et fait partager ma jouissance à mes partenaires, mais Céline crie plus fort que moi pour le coup. Epuisée, je m’allonge à côté d’elle, nos bouches se frôlent pendant que nous reprenons nos esprits, nos langues se titillent. Nous restons longtemps allongés l’une à côté de l’autre, nous caressant la poitrine, nous embrassant légèrement. - Je dois y aller, me dit-elle au bout d’un moment. Elle se lève, se rhabille, se recoiffe du bout des doigts, refait sa queue de cheval. Je suis restée nue sur le lit à l’observer. Elle s’approche, se penche vers moi, m’embrasse et me dit : - Passe au commissariat demain matin, pour déposer une plainte. - Mais et ta visite chez moi ? Ça ne sert à rien, il faut quand même que je me déplace ? - On ne se déplace jamais pour un cambriolage. On aurait pas fini. En tout cas, jamais seuls. Et puis moi, je suis dans les bureaux, je n'arrête personne ! Je suis venue parce que j’ai flairé le bon coup. Je ne sais pas ! Un pressentiment peut être ! J’éclate de rire, elle aussi. Week-end pourri, mais qui se termine en beauté. C’est à la fin du bal qu’on paye les musiciens, et pour le coup, une bien belle fin de bal. C’est la seule morale que je trouve à cette histoire. Enfin si on peut appeler ça une morale ! 
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