1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (2)


    Datte: 22/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de ses reins et son dos. Sa peau douce, ces caresses, ce baiser, son odeur m’ont mis dans un état d’excitation incroyable – j’avais envie de faire l’amour avec ma sœur pour de vrai – et mon cœur battait à tout rompre. J’étais partagé entre ce sentiment de culpabilité et le désir. Je la repoussai en lui disant qu’on n’avait pas le droit de faire cela ; et si les parents nous surprenaient ? Elle me répondit qu’elle s’en foutait, qu’elle voulait faire l’amour, et que les parents étaient bien trop occupés pour s’intéresser à nous. J’ai cédé. Elle s’est allongée à côté de moi. Nous nous sommes caressés maladroitement ; j’ai touché son sexe pour la première fois : c’était doux et humide, mais terriblement bon. Nous nous sommes touchés, embrassés, sucés. J’ai léché l’entrée de son écrin, j’ai goûté son jus, je me délectais mais je n’osais pas faire le premier pas. C’est elle qui le fit. S’étant mise sur moi, elle a placé l’entrée de son écrin au contact de mon sexe puis se l’est enfoncé doucement ; mon prépuce glissa sur mon gland. Je sentis que quelque chose empêchait toute progression : je butais sur son hymen. Elle me regarda dans les yeux en me soufflant « Tu es prêt ? » et, sans même attendre de réponse, elle s’abaissa sur moi en laissant échapper un petit cri. J’avais mal au sexe ; il était comme étranglé. Elle se retira, alluma la lumière. Je fus pris de panique en voyant du sang sur mon sexe et couler de son entrejambe. Elle m’entraîna dans la salle de bain pour nous ...
    ... nettoyer en me disant qu’après je devrai lui prouver que j’étais un homme. De retour sur mon lit, elle s’allongea sur le dos les jambes grandes ouvertes, m’offrant la vision de son intimité. Elle me tendit la main, une capote entre les doigts, avec un « Viens vite... » Impatient, j’ai enfilé le doigt de caoutchouc et je me suis allongé sur elle en la pénétrant doucement au plus profond que je pouvais. Elle posa ses mains sur mes fesses en imprimant un mouvement de va-et-vient ; c’est elle qui donnait la cadence. Nos respirations sont devenues plus profondes, puis elle s’est mis à gémir, à onduler. Elle s’est agrippée à mes fesses, les tirant à elle par coups secs. Je compris que quelque chose était en train de se passer en elle ; je me mis à la pilonner à son rythme. Elle me lâcha, gémissant de plus en plus fort, puis se contracta, prise de convulsions au moment où j’éjaculais dans ma capote. Nous nous sommes endormis nus et heureux dans les bras l’un de l’autre. Cet acte, nous l’avons qualifié « d’amour » pour nous donner bonne conscience en nous disant que : – Si l’on s’aimait, pourquoi n’aurions-nous pas le droit de faire l’amour ? – Que nous étions maintenant majeurs et par conséquent libres de faire ce qu’il nous plaisait. – Que personne ne serait de toute façon au courant. – Que cela ne durerait pas, que ce n’était que passager. – Et qu’on n’avait rien à faire de l’opinion des autres ! Forts de ces réflexions hautement psychologiques et convaincus de ne rien faire de mal, nous ...