1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (2)


    Datte: 22/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... avons continué nos jeux et les améliorant au fil du temps. ****** Un soir, alors que papa était en déplacement, nous nous sommes installés avec maman sur le canapé pour regarder une émission sans intérêt ; maman était entre nous deux. Un souvenir d’enfance me revint en tête : petits, maman nous faisait toujours un bisou sur la bouche pour nous dire bonjour ou bonsoir. Je me souviens aussi de ces soirées où nous étions ma sœur et moi recroquevillés et blottis dans le creux des bras de maman ou papa à regarder un film ; ils nous caressaient tendrement et j’éprouvais une sensation de bien-être, de calme, de protection, de sécurité, tout ce dont un enfant a besoin. Puis la puberté est arrivée ; maman s’est aperçue que ses caresses, bien qu’innocentes, provoquaient chez moi des réactions visibles. Elle avait tout simplement arrêté net les câlins en nous expliquant que nous étions trop grands pour continuer ce genre de chose. L’idée de nous faire caresser par maman me vint à l’esprit et je lui demandai : — Dis, maman, tu ne voudrais pas nous caresser comme tu le faisais quand nous étions petits ? — Vous n’êtes pas un peu grands pour ce genre de choses ? Justine, qui avait compris où je voulais en venir, renchérit : — Oh oui, maman ! Il fait chaud : on se met tout nu ! Allez, maman, dis oui... — Bon, d’accord ; mais un petit peu, pas longtemps. Sans attendre, nous avons retiré l’unique maxi tee-shirt qui nous couvrait et nous nous sommes calés dans le creux des épaules de maman. ...
    ... Elle nous caressait le bras, le dos jusqu’au creux des reins. Je posai ma main sur sa cuisse droite, Justine sur celle de gauche. Notre complicité était telle qu’un regard suffisait pour que nous nous comprenions. Un plan machiavélique était en train de s’échafauder... Un regard, un clin d’œil, et nous commençâmes à lui caresser les cuisses, à toucher ses rondeurs, la douceur de sa peau. J’espérais au plus profond de moi que cette petite séance se poursuivrait longtemps ; je commençais à bander. « Et si elle pouvait me toucher la queue ! » Cette pensée m’excita encore plus ; je m’enhardis même au point de passer ma main sous son tee-shirt. Ma main se mit à voyager sur son ventre puis à remonter jusqu’à ses seins ; ils étaient volumineux, le double de ceux de Justine. Maman ne dit rien, ne bougea pas. Les yeux clos, sa respiration devint plus posée. Justine et moi nous nous regardâmes fixement comme pour communiquer, et nos mains se rejoignirent ensemble sur le pubis de maman pour tenter de s’immiscer entre ses cuisses qui – ô surprise ! – s’ouvrirent légèrement. Nos regards se tournèrent vers le sien, complice et approbateur. Elle arrêta net ses caresses et leva les bras ; nous fîmes voler son tee-shirt par-dessus elle. Elle reposa ses bras le long de son corps et nous souffla un « Continuez... » tendre et à peine audible et, comme pour nous encourager, avec un sourire révélateur elle plaça sa main gauche sur le pubis de Justine et s’empara de ma verge tendue. Elle s’enfonça ...