1. La bourgeoise et le marabout (8)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sont écartées au maximum et les doigts inconnus ont maintenant pleinement pris possession des lieux. Ma chatte est trempée et une douce chaleur m’envahit le bas-ventre. Mes tétons sont bien durs et réagissent parfaitement à la main qui a dégrafé mon soutien-gorge pour mieux profiter de mes seins. François est de plus en plus tendu et sa main vient d’accentuer la pression sur ma nuque. Son gland est au fond de ma gorge lorsqu’il décharge sa chaude semence. Les jets sont moins puissants et moins fournis que ceux de Monsieur Coulibadou mais j’apprécie tout de même cet élixir de jouvence. Une fois que j’ai bien nettoyé la queue de ma langue, l’étau sur ma nuque se desserre et je peux enfin relever la tête. Me tournant sur ma droite, je peux voir que le complice est un homme d’une cinquantaine d’années, costard-cravate, cheveux grisonnants. François se penche vers moi et me dit — Ce monsieur nous regardait avec insistance et semblait m’envier. Je lui ai fait comprendre que tu étais là pour le plaisir ! Sans répondre, je l’embrasse avec passion puis me tourne vers l’inconnu et lui dis : — Vous permettez ? Avant qu’il ne me réponde, je me penche et embouche sa queue qu’il commençait à caresser. Son sexe est court mais très épais, il me remplit toute la bouche. A l’instar de mon mari, il réagit vite et le voilà qui bande bien. Sa queue ne s’est pas allongée mais elle a encore grossi. A ce moment, François glisse un petit sachet dans ma main et je vois que c’est un préservatif. Le ...
    ... coquin, il a envie que cet inconnu en profite jusqu’au bout. J’ai du mal à enfiler la protection sur la queue mais j’y arrive tout de même. Mon époux me dit — Tu vois chérie, ce n’est pas si compliqué que cela de donner du plaisir aux hommes. J’aime quand tu agis ainsi, j’adore ! Pour bien répondre à ses attentes, et peut-être aussi pour le mettre devant les conséquences de ses choix, j’accentue ma fellation tout en malaxant bien les bourses. J’entends l’inconnu dire à mon mari — Vous avez une épouse divine, je vous envie d’avoir une femme aussi dévouée à vos envies les plus coquines. Mon mari lui répond — J’ai commencé tout récemment son éducation mais elle apprend vite. Si François savait que c’est en fait Monsieur Coulibadou qui se charge de mon éducation, peut-être ferait-il moins le fanfaron devant cet homme. Mais finalement, peut-être se consolerait-il en se disant que c’est lui qui peut en profiter le plus souvent et quand il le souhaite. Soudain, voilà l’homme qui se tend, émet un râle de bête sauvage et décharge de longs jets qui remplissent le préservatif. Je me tourne de nouveau vers François et lui dis d’une voix sensuelle et un peu soumise : — Chéri, es-tu satisfait de mon comportement ? Monsieur semble quant à lui avoir apprécié ! François me fait lever de mon siège et me prend par la main pour m’entraîner hors de la salle. Nous rentrons à la maison et montons aussitôt dans la chambre. Tandis qu’il est aux toilettes, je prends mon médicament en buvant directement à ...