À la découverte de ma tante
Datte: 23/05/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
oncletante,
piscine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
extraconj,
... de la belle devenaient de plus en plus intenses. Elle replia ses jambes, comme une femme sur le point d’accoucher, tout en lui intimant d’une voix suppliante de ne surtout pas s’arrêter. Si elle accouchait de quelque chose, ce n’était certainement pas dans la douleur. Et puis elle poussa à nouveau son cri, si aigu, si singulier et qui avait été si indéfinissable pour moi la première fois que je l’avais entendu. Mais elle ne voulait pas en rester là, elle avait visiblement l’intention de dépuceler son jeune partenaire. Le sentant un peu emprunté, elle se dégagea à nouveau de la caresse de sa bouche et cette fois, c’est elle qui l’allongea sur le dos. Comme un élève appliqué, il se laissait faire, et durant ce mouvement, elle en profita pour appliquer un tendre baiser sur sa bouche. C’est à ce moment seulement que je me rendis compte qu’il perlait des lèvres du jeune africain un liquide légèrement laiteux. Elle avait donc bien joui dans sa bouche, mais cela ne lui suffisait pas ! Elle chevaucha alors son bel éphèbe dont la queue dressée n’avait rien à envier à celle d’un jeune étalon. Je la savais passionnée d’équitation, et je pus vérifier ses talents d’écuyère dans sa fougue à vouloir déniaiser « sa monture ». Elle coulissait sur le gros sexe de son partenaire, tout d’abord doucement, puis de plus en plus vite, l’engouffrant à chaque fois le plus profond possible dans son sexe. Quand son gland buttait contre son vagin, sortait de sa bouche comme un chuchotement d’abord, un ...
... souffle et puis finalement un cri d’encouragement : — Oh oui, oh oui, c’est bon, comme c’est bon ! J’aime ta queue, oh oui !… Et puis ce ne fut plus que sa respiration accélérée, comme un râle continu de plus en plus fort et aigu. Elle se déchaînait maintenant comme une furie sur sa proie, s’agitant en tous sens, ses cheveux en bataille, dont quelques mèches, sous l’effet de sa transpiration, collaient maintenant à son superbe visage. J’avais du mal à imaginer que cette femme qui était en train de baiser avec une telle sauvagerie, était bien ma tante. Mais c’était bien sa jolie poitrine qui était en train de se trémousser délicieusement, c’était bien se sexe délicat découvert à l’instant qui pistonnait la verge noire et gluante, c’était bien son joli cul d’albâtre qui claquait bruyamment sur la chair sombre de son amant. J’étais d’ailleurs maintenant obnubilé par ce charmant grain de beauté, que j’avais remarqué dès le premier jour sur son cou, seule carnation de sa peau identique à celle de son éphèbe. Lorsqu’elle poussa son cri libérateur, c’est toute une crème blanchâtre qui, débordant de son sexe, vint se répandre sur la bite de son amant. Tout en restant enfourchée, elle se lova contre lui pour l’embrasser à pleine bouche aussi passionnément qu’elle le faisait avec son mari ! J’en avait assez vu. Et la tension sexuelle devenant insupportable, je préférai reprendre ma course et vous pouvez imaginer que cette fois encore, ma performance ne fut pas à la hauteur. Je me doutais ...