1. À la découverte de ma tante


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, oncletante, piscine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj,

    ... gravissant l’escalier extérieur, je n’ai pu m’empêcher d’être fasciné, à côté de la silhouette massive et déjà vieillissante de son mari, par sa silhouette à elle, à l’allure féline mais sans excès d’une démarche pleine de délicatesse contenue et d’assurance. Ses petites fesses si fermes, ondulant gracieusement sous le chaste voile de sa robe légère finirent d’emporter ma soudaine attirance. Une fois dans la chambre qui m’a été conviée, enivré encore par son parfum « bourgeois », c’est à dire capiteux, mais sans vulgarité, je me suis retrouvé encore plus seul que je l’étais avant même de franchir le portail de leur propriété. Il fallait absolument me défaire de ces pensées malsaines, parce que je n’étais pas venu pour poignarder la confiance de mes hôtes si sympathiques en jouant je ne sais quel mauvais vaudeville. Et aussi parce j’étais là pour me défaire d’une passion tourmentée qui avait mal fini et certainement pas pour me replonger dans une autre. Heureusement, ils m’avaient tous les deux assuré que j’aurais une entière liberté de mouvement, et qu’ils seraient le plus souvent absents en dehors des heures du petit déjeuner et du repas le soir, étant très impliqués, depuis leur retraite en France, par leur engagement dans diverses associations. Je n’ai pas posé davantage de questions et cela me convenait parfaitement. Le soir même, alors que j’avais pu m’organiser idéalement : activités physiques, farniente, piscine, lecture… J’ai pu constater que les choses prenaient une ...
    ... tournure plus « rassurante ». J’étais toujours impressionné par la beauté singulière de mon hôtesse. Ses cheveux détachés, châtain foncé, ondulaient maintenant avec souplesse sur ses belles épaules dénudées. La clarté de sa peau était magnifiée par l’éclairage rasant de cette fin de journée, alors que nous étions sur la terrasse, et par un joli décolleté qui laissait malicieusement deviner avec gourmandise les contours de sa poitrine menue. Mais je l’observais ce soir plus comme un esthète que comme un amoureux transi. D’autant plus que son attitude cordiale, mais assez distante, ne me laissait rien présager d’un intérêt en retour autre que celui que l’on accorde normalement à son neveu. Je soupçonnais par contre qu’elle ait perçu mon attention un peu trop appuyée vis-à-vis d’elle, car elle semblait désormais m’éviter le plus possible du regard… Mon oncle, quant à lui, terriblement bavard, occupait largement l’espace, ce qui avait l’avantage d’éviter toute gêne qui aurait pu s’instaurer dans un tête-à-tête entre sa femme et moi. Mardi 28 juillet Je les ai rejoints pour le petit déjeuner. Ils étaient déjà tous les deux prêts à partir. Comme la veille, cordiale, souriante, je ne croisai son regard d’émeraude qu’un instant, celui où elle me demanda si j’avais bien dormi. Elle était cette fois encore vêtue d’une robe légère, toute simple qui galbait superbement son joli corps. Je la trouvais décidément très belle, et cette beauté contrastait avec l’apparence presque vulgaire de ...
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