1. À la découverte de ma tante


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, oncletante, piscine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj,

    ... et, pour la première fois, planta intensément son regard d’azur dans le mien pendant quelques secondes qui me parurent une éternité. Avec toute l’audace dont j’étais enfin redevenu capable, j’approchai ma main de son visage pour effleurer d’un doigt la commissure de sa lèvre d’où perlait une goutte de lait. — Merci ! Voilà la gratification étrange qu’elle m’adressa, et je ne sais encore si c’était pour ce geste, pour ma main sur la sienne, ou pour l’attention générale qu’elle daignait pour la première fois observer chez moi… Puis brusquement, elle a baissé à nouveau les yeux, retiré sa main et a repris son attitude plus distance pour me dire d’une voix presque sèche qu’il était tard et qu’il fallait qu’elle parte ! En voyant sa sublime silhouette quitter la pièce, je me demandais cette-fois si elle allait encore retrouver un autre amant… Toute la journée, j’eus l’impression d’être empli du bleu de ses yeux, d’autant plus que le ciel totalement dégagé m’en offrait un éclatant rappel ! Mais le soir, qu’elle n’a pas été ma déception, de la trouver aussi distante que ces derniers jours. J’avais soudain peur de ne plus pouvoir prendre seul à seul, le petit déjeuner avec elle, qu’elle ne vienne plus me rejoindre sur le bord de la piscine ! Mercredi 5 août Et c’est en effet ce qui se passa le jour suivant… D’un espoir fou, il ne me restait que le souvenir délicieux de la sensation de la peau douce et chaude de sa main contre ma paume et de ce regard perçant et envoûtant qui ...
    ... m’avait enveloppé d’une chaleur plus intense encore ! Je n’avais, pour le reste, que la vision de cette sublime bourgeoise cajolante pour un autre que moi, et qui me désespérait, le soir, par ses cris qui ne seraient jamais pour moi ! Jeudi 6 août Matinée et après-midi toujours emplis de son absence. Pas plus d’espoir pour le soir venu où je leur annonce que je rentrerai sans doute chez moi ce week-end. Pas d’autre réaction, si ce n’est d’une vague politesse de mon oncle regrettant mon regard précipité, ce qui ne l’a pas empêché à nouveau de plaquer sa large main sur les jolies fesses de sa femme en quittant le salon et de s’éclater avec elle au lit toujours aussi bruyamment. J’étais plongé dans un profond sommeil, quand un léger bruit me réveilla. Juste le temps de voir qu’il était plus d’une heure du matin. Un craquement du parquet me fit tressaillir, mais plus encore la sensation de « son odeur » qui parvint à mes narines. Je n’avais pas encore eu le temps de m’habituer à l’obscurité que je savais déjà que la silhouette qui s’avançait près de mon lit était celle de ma tante Anaïs. Sans attendre ma réaction elle se faufila sous ma couette et je pus me délecter de son odeur désormais prégnante et de la chaleur de son corps si près du mien. Le chuchotement que j’entendis de ses lèvres est le plus exquis que je n’aie jamais entendu : — N’aie pas peur, j’avais envie d’être près de toi ! Je ne veux pas que tu partes !… Je ne peux pas me passer de toi ! Je me disais que j’hallucinais, ...