1. À la découverte de ma tante


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, oncletante, piscine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj,

    ... mon oncle, bedonnant, au visage sans grâce et à la peau flétrie par l’âge et une trop longue exposition au soleil. C’est seulement alors que j’ai remarqué qu’il portait les parfaits attributs du bof de base : chevalière, collier massif au cou surplombant un corps trop velu et surtout propension aux propos lourdingues et aux calembours moisis. Il y avait pour moi quelque chose d’irréel à voir la réelle tendresse qui unissait ce couple improbable, au moment où ils s’embrassaient sur la bouche, alors qu’il enlaçait sa fine taille de son bras massif et trop poilu. J’aurais aimé rester plus longtemps avec elle, mais elle me gratifia d’un bref et chaste baiser sur la joue pour finalement s’éclipser aussi rapidement que son mari. Je me retrouvais donc seul et j’étais bien obligé de constater qu’elle me trottait à nouveau plus que jamais dans la tête. Elle ne faisait rien pour m’allumer, mais ayant eu jusqu’ici pas mal de succès avec les filles et ayant déjà multiplié toutes sortes d’expériences sexuelles, je me rendais compte que sa relative froideur ajoutait à mon excitation. Ma volonté de m’accorder ici une retraite sereine et abstinente était déjà mise à mal… Un peu plus tard dans la matinée, je courais sur le parcours que j’avais repéré la veille et qui menait au lac, lorsque j’entendis un cri qui venait d’une cabane à l’orée de la forêt. Après une brève hésitation, je déviai de mon chemin pour me diriger vers cette maisonnette que je n’avais pas remarquée jusqu’ici. En ...
    ... m’approchant, j’entendis des chuchotements, puis des mots assourdis qui me firent stopper net. Il y eut d’abord une voix d’homme, plutôt grave : — J’ai cru entendre un bruit… Et puis celle d’une femme pour moi reconnaissable entre toutes : — Ne vous inquiétez pas, mon mari ne reviendra que vers 18 h et mon neveu est bien trop occupé à entretenir sa forme, pour venir se promener dans les bois… Sa voix était essoufflée. Je l’entendis encore : — Prenez-moi dans vos bras, c’était tellement bon ! Je restais là, tapi dans un fourré et plutôt stupide. J’aurais voulu m’approcher, mais je craignais d’attirer l’attention et, malgré quelque chose qui ressemblait déjà en moi à de la jalousie, je n’avais curieusement aucune envie d’interrompre leur intimité. Je voulais être certain de ne pas rêver : tante Anaïs trompait mon oncle dans sa propre propriété alors qu’elle avait laissé croire qu’elle partait ce matin ! J’entendis d’autres échanges qui finirent par aiguiser ma jalousie et mon excitation ; venant d’elle d’abord : — Oh oui, prenez-les dans votre bouche et tétez-le, vous êtes mon gros bébé ! Après un long silence, elle poussa des gémissements. En entendant de sa jolie bouche ses râles de jouissance, je me mis à bander ! — Oh, oui, continuez, … mordillez moi les tétons ! Sa respiration s’accélérait et bientôt ses soupirs se transformèrent en cri… le même cri qui m’avait détourné de ma course ! Un peu plus tard, c’est la voix grave de son amant qui se fit entendre et qui me révéla bientôt ...
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