l'infermiere de papa
Datte: 25/08/2017,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
... ; je ne voulais pas qu’il se salisse à nouveau. Et ça a continué comme ça un moment. Je ne le masturbais pas tous les jours bien sûr, seulement quand mon père affichait une forte érection. La Nature l’avait bien pourvu d’ailleurs, quel dommage, c’était pour lui, ou pour quiconque l’aurait eu pour mari.Dû à son handicap, l’érection de papa n’était parfois pas très forte et il mettait alors longtemps à venir. Cela ne me dérangeait pas, jusqu’au jour où je fus en retard pour un de mes cours du soir. J’avais beau le frotter, le gant de toilette avait l’air de ne lui faire aucun effet. Peut-être n’avait-il pas envie ? Pourtant, cela faisait plusieurs jours qu’il bandait. J’ai alors regardé ma montre et dans une tentative désespérée, je me suis mise à le branler à la main et à le sucer en même temps. Je voulais qu’il jouisse le plus vite possible. Son érection doubla instantanément de volume. C’était la première fois que je faisais ça avec lui. J’avais son sexe qui était sur le point d’exploser entre les doigts, son gros gland dans ma bouche. Je n’étais pas excitée, mais j’avais néanmoins le cœur qui battait fort. Il jouit dans les trente secondes, le sperme de papa m’arrosant l’intérieur des joues, et je pus aller à mon cours.Ce ne fut qu’en cours, alors que j’avais encore le goût de la semence paternelle en bouche que je me mis à réfléchir sur ce que j’avais fait. Entourée de monde, j’avais un peu honte, mais je me suis dit qu’au moins, j’avais rendu mon père un peu heureux ...
... dans sa chienne de vie. J’étais décidée à le refaire s’il le fallait.La fois suivante, quelque chose de très étrange s’est passé. Mon père avait de nouveau une belle érection. Mais lorsque je me suis mise à le masturber avec son gant de toilette, il s’est mis à râler et à gigoter pour me faire comprendre que quelque chose n’allait pas. Et puis, je compris : il voulait que je le masturbe comme l’autre fois. La masturbation précédente que je lui avais procurée avait été trop bonne, il ne voulait plus retourner au gant. Je l’ai regardé alors avec un grand sourire, contente de savoir que j’avais eu un tel effet sur lui. Tout évènement qui montrait mon père plein de vie était pour moi exceptionnel et me remplissait de joie. Je l’ai appelé mon grand coquin et me suis mise à le masturber avec ma main. Oui, c’était peut-être de l’i****te, mais j’avais un père qui souffrait et pas vraiment d’autres alternatives pour l’apaiser. Je m’en serais voulue toute ma vie si je l’avais laissé comme ça. Alors les gens peuvent bien me juger s’ils le veulent. Moi, j’avais décidé d’assumer pleinement ce que je faisais : je l’ai branlé et sucé avec tout l’amour qu’a une fille pour son papa. C’est à partir de là que je me suis mise aussi à lui masser les bourses, il en raffolait. Je le masturbais certaines semaines tous les jours, jusqu’à ce qu’il se vide abondamment, parfois dans ma bouche puisqu’il ne pouvait me prévenir et ce jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Croyez-le ou non, mais mon père se portait ...