l'infermiere de papa
Datte: 25/08/2017,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
... présentant mon derrière. Il put voir mes fesses nues et mon sexe de femme, deux choses qu’il n’avait plus vues depuis longtemps. Toujours retournée, j’ai pris le gros zizi de mon papa et je me suis assise dessus. Pour la première fois depuis des années, il pénétrait une femme. Cela devait être tellement bon pour lui qu’il ne put s’empêcher de lâcher un gémissement. Moi, j’essayais de me contenir, j’avais les joues roses et me mordais les lèvres ; j’étais honteuse de prendre tant de plaisir moi aussi. Je commençai mes va-et-vient de cette façon. J’avais les jambes faibles et tremblantes, mais qu’est-ce que c’était bon ! Je sentais que je pouvais jouir, mais je n’osais pas me laisser aller. Mon con se serrait contre le sexe gonflé de mon père. Et lorsque je sentis, pour la première fois, sa semence chaude en moi et que je réalisai que c’était le sperme de mon propre père que je sentais, je n’ai rien pu faire et je me suis laissée emporter par un orgasme foudroyant. Je suis restée assise un moment sur lui, profitant de la jouissance qui me parcourait le corps. Je pouvais sentir son sexe débander lentement en moi.Je me suis désempalée et me suis posée dans le canapé, toujours dans ma tenue d’infirmière. Papa avait le sexe à l’air.Mon père avait l’air d’avoir retrouvé une nouvelle jeunesse : il avait les yeux rivés sur moi et, lentement, je pouvais voir le bougre déjà rebander. Peut-être ai-je un pouvoir de jouvence sur mon papa ?« Quel coquin tu es, lui dis-je alors en ...
... m’approchant, si j’avais su que ça te plairait tant, je l’aurais fait bien avant... ! »Sa queue était devenue raide, son gros gland, un peu rouge, gonflé. Je me suis rassise sur lui, mais en lui faisant face cette fois. Mes jambes étaient de part et d’autre de lui et traversaient son fauteuil roulant. Et je lui ai dit, tout en mettant son sexe en moi : « Mais maintenant, je sais ! Ne t’inquiète plus, papa, je vais bien m’occuper de toi dorénavant ! ». Et j’ai commencé mes va-et-vient. Je bougeais mes hanches et déjà ma respiration s’accélérait. J’étais tout contre lui. Je décidai de sortir mes seins de mon bustier pour qu’il puisse les toucher, les sentir, les goûter. Pendant que nous faisions l’amour pour la seconde fois, j’avais la tête au creux de son cou. Nous étions presque en train de nous câliner. Et puis, j’ai eu le bonheur, pour la deuxième fois, de sentir mon père se déverser en moi. J’étais à chaque fois si contente de le faire jouir, je savais que ça faisait du bien à son petit corps.Je me suis relevée, j’ai nettoyé mon père et lui ai souhaité un bon anniversaire, en l’embrassant sur la joue.Je n’ai jamais regretté ce que j’ai fait avec mon père. Nous avons d’ailleurs continué pendant longtemps. Même lorsque je me suis mariée, même lorsque j’ai eu des enfants, j’ai toujours trouvé un peu de temps pour voir mon père et lui faire les soins dont il avait tant besoin. Lorsque mon mari et moi eûmes assez d’argent pour payer les soins réguliers d’une infirmière professionnelle, ...