1. Nadine, la vengeance d'une maman (29)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... longtemps. — Alors, tu es content ? C’est ça que tu voulais ? Elle se sent coupable alors elle aboie, montre les dents, car elle a réalisé ces derniers temps que l’attaque est la meilleure défense. — Tu as été fantastique, Maman ! Il la regarde, les yeux brillants, et la pression retombe immédiatement. Elle se détend. — Vraiment ? Tu ne m’en veux pas ? — Pourquoi je t’en voudrais ? Tu n’as fait que ce que je te demandais. — Tout s’est passé si vite… J’aurais dû le faire languir plus longtemps. — Mais pas du tout ! Tu l’as chauffé à blanc, tu l’as poussé à bout. — Tu trouves ? Il est odieux ce garçon… et tellement arrogant. — Il est surtout monté comme un âne, Maman ! — Oh là là, tu as vu ça ! — J’ai cru que tu n’allais pas pouvoir t’empêcher de le sucer… Ne me dis pas que tu n’y as pas pensé avec la queue qu’il a ! — Et ça ne t’aurait pas dérangé ? — Sans doute un peu… mais j’aurais tellement aimé te voir prendre sa grosse bite dans la bouche ! — Seigneur, Maxime, tu es de plus en plus tordu, j’espère au moins que tu as conscience. — Tu ne comprends pas… Si tu lui avais taillé une pipe sous mes yeux, j’aurais été jaloux, c’est évident… mais je n’aurais pas pu t’en vouloir puisque c’était mon idée. Nadine regarde son fils, épouvantée par son aveu, mais il y a aussi du désir, de l’incrédulité dans ses yeux. — Ça fait longtemps que je sais que tu es pervers, mais alors à ce point… Je n’en reviens pas ! Elle se lève, sort de la terrasse en toute hâte. Une fois à l’intérieur, ...
    ... elle se débarrasse de sa robe, baisse sa culotte, s’installe à quatre pattes à même le sol, l’invite du regard les jambes écartées, le cul en bombe, les reins creusés. — Viens, viens-vite sale petit vicieux… Baise-moi… Baise ta vilaine maman prête à tout pour satisfaire son petit garçon capricieux. Nous avons atteint un sommet ce jour-là, un raffinement dans le vice que je ne soupçonnais pas, et pourtant Dieu sait que j’étais persuadé que nous n’avions plus rien à nous prouver sur le sujet. Bien plus tard, seul dans mon lit, je n’ai pas réussi à m’endormir. J’avais tout fait pour rassurer Maman - avant de la sodomiser, après lui avoir longuement travaillé le trou du cul avec ma langue, afin de bien le préparer - mais j’étais pourtant inquiet. Alexandre avait entre les jambes un argument susceptible de faire perdre la tête à la plus amoureuse, la plus fidèle des femmes mariées, alors à plus forte raison à une femme comme ma mère qui adorait le sexe. L’occasion faisant le larron, provoquer un nouveau tête-à-tête (façon de parler !) entre eux était le plus sûr moyen de leur permettre d’aller trop loin. D’autant plus qu’il était impossible de renoncer à Maman une fois qu’on y avait gouté, et Alexandre n’échappait pas à la règle. Il faisait désormais partie des rares privilégiés. J’avais la désagréable impression de foncer dans le mur tête baissée. Mon sommeil a été peuplé de rêves agités. Il m’a téléphoné le lendemain matin. Il était si excité qu’il bégayait. Comme je ne voulais pas ...