1. Nadine, la vengeance d'une maman (29)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... baise… mais c’est toi qui décide mon pote… C’est toi le boss ! Il me caressait enfin dans le sens du poil, me passait de la pommade mais un peu tard, et surtout je n’étais pas dupe ; il était plein de morgue, m’insupportait. — Tu ne peux pas revenir chez nous, c’est trop risqué… Elle va finir par se douter de quelque chose. — Ne t’en fais pas pour ça. Téléphone-moi le moment venu, et je m’occuperai du reste… Tu trouveras bien une nouvelle excuse pour t’absenter, pas vrai ? Nous sommes sortis de l’eau, avons mangé un morceau, et Maman a demandé qu’on rentre juste après. Ça tombait bien. Je ne supportais plus cet idiot qui la mettait mal à l’aise avec ses allusions de lourdaud. Nous n’avons pas dit un mot dans l’auto. Arrivés à la maison, je l’ai tout de suite entrainée dans sa chambre. L’attitude d’Alexandre m’avait exaspéré, mais pas seulement ; j’étais incroyablement excité, j’avais envie de la faire crier. Elle m’a suivi en trainant un peu des pieds, mais docilement, avec cette étonnante soumission canine qu’elle adoptait chaque fois je prenais l’initiative et qui me surprenait toujours autant. Nous avons fait l’amour tout l’après-midi. J’ai profité de son corps jusque tard dans la nuit. Elle s’est comportée, du début à la fin, comme un objet sexuel à ma disposition, une poupée de chair malléable à souhait qui ne dit jamais non, qui accepte toutes les perversions. Elle avait d’instinct compris que je la voulais absolument passive. Alors que nous somnolions dans le noir, ...
    ... dégoulinant de sueur, allongés sur le dos main dans la main, épuisés par nos innombrables excès, je lui ai expliqué comment Alexandre envisageait la suite, et elle est aussitôt sortie de sa torpeur. — Sois raisonnable mon chéri, ce petit jeu a assez duré. — Au contraire Maman, il ne fait que commencer. — Mais que cherches-tu à la fin, qu’est-ce que tu veux prouver ? — La prochaine fois que vous vous verrez, tu ne vas pas te contenter de le branler... C’est moi qui te le dis ! — Ah bon ? Et que va-t-il se passer, d’après toi ? — Tu vas lui sucer la queue, lui lécher les couilles, le trou du cul… Tu vas le rendre fou… Je veux qu’il ait envie de te baiser à en crever, cet enculé ! — Mais pour quelle raison, à quoi bon ? — Laisse-moi finir, je n’ai pas terminé… Juste avant de passer à l’acte, tu le repousseras… et tu éclateras de rire. — Où veux-tu en venir, bon-sang ? — Tu ne comprends toujours pas ? C’est le moment que je choisirai pour me montrer… Il réalisera qu’on s’est foutus de sa gueule depuis le début, que nous l’avons manipulé, que nous sommes complices tous les deux. — Explique-moi donc un peu pour quelle raison je ferais une chose pareille ? — Parce que ce connard s’imagine que l’as dans la peau, que tu n’en as plus rien à foutre de moi… Il va comprendre sa douleur, ce sale petit fumier. — Mais c’est ridicule, voyons ! Ton histoire ne tient pas debout ! — Fais-moi confiance, ça va marcher. — Admettons… mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Pour qui va-t-il ...