1. La vengeance et la haine


    Datte: 24/05/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure,

    ... de pas mal de coups de trique… Je ne sais pas combien de temps ma détention dura, mais au final je fus transférée – d’abord sur un camion, ensuite sur une chaloupe, mais toujours sans eau, en plein soleil et dans une minuscule caisse en bois, cela va de soi, sur ce que j’apprendrais plus tard être le yacht présidentiel, et où je retrouvais ma mère que je n’avais pas vue depuis des semaines et que je croyais – je n’ose dire espérais – morte depuis un bail, ainsi que quatre autres filles. Pourquoi avions-nous été attachées toutes les six en plein cagnard à des poteaux au beau milieu du pont ? Ce n’est que quand nous avons vu Ernesto himself se pointer avec ses sbires et que ces derniers avaient apporté une sorte de brasero que nous avons compris ce qui allait se passer… Ce n’était pas la peine d’avoir vu Histoire d’O pour comprendre que, comme du bétail, nous allions être marquées au fer rouge. Je me croyais dure à la douleur, mais la souffrance a été inimaginable… Et au bout d’une bonne heure, nous nous sommes toutes retrouvées avec cette étoile à sept branches qui ornera le creux des reins jusqu’à la fin de nos jours. Quand on connaît l’enfer, on se dit toujours que cela ne peut pas être pire, et pourtant… Les jours suivants furent atroces : la douleur du fer rouge ne s’estompait pas, nous étions toutes les six enfermées dans des cages à chien posées à même le pont, nourries également avec des croquettes qu’aucun clébard, même affamé, n’aurait consenti à ingurgiter, et ...
    ... n’ayant pour boire qu’une vague gamelle d’eau scellée au sol et qui aurait été tout juste suffisante pour abreuver un teckel… Seul réconfort, pourvoir reparler à ma mère, apprendre ce qui lui était arrivé, essayer d’avoir des nouvelles de mon père – qu’elle n’avait pas plus que moi, on s’en doute – et tenter d’échanger quelques mots avec les autres filles comme si connaître leur parcours aurait pu changer quelque chose à notre triste sort… De temps en temps, on nous sortait, enchaînées et en laisse bien évidemment, et leur plaisir était de nous obliger à pisser comme des chiennes. Là encore, s’ils espéraient m’humilier avec ce genre de combines, c’était raté ! Par contre, ils embarquaient régulièrement l’une d’entre nous et après l’avoir attachée sur une sorte de croix de Saint-André, et là tout l’équipage lui passait dessus de toutes les façons possibles… Malgré tous mes efforts pour relativiser les choses – encore une fois, il ne devait s’agir que de quelques queues de plus qui n’influeraient pas ma vie – ils ne furent quand même pas loin de me faire devenir folle. Pour ma mère, ce fut plus compliqué… Elle eut droit au même traitement que toutes les autres, mais ces connards agrémentèrent leur petite fête d’une quantité industrielle de rhum. Résultat, après l’avoir violée encore et encore, ils étaient tous dans un tel état qu’ils l’oublièrent en plein cagnard. Déchirés comme ils l’étaient, ils n’entendirent pas ses supplications et ses hurlements lorsque la soif s’ajouta à la ...
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