1. La vengeance et la haine


    Datte: 24/05/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure,

    ... ce que j’ai pu endurer, je n’ose pas imaginer les sévices auxquels elle a dû avoir droit… La chance que j’ai eue à cette époque-là, c’est que malgré mes vingt et un ans, j’avais déjà une solide expérience du radada… Des garçons – et quelques filles, aussi – j’en avais déjà connu des tas, des biens, des moins biens, des beaux, mais aussi des moches… J’ai couché des dizaines de fois, par plaisir, par envie, quelquefois même par amour, mais aussi parfois par dépit, par désœuvrement, par colère, par vengeance… Et je ne parle même pas des défis que nous nous lancions entre copines et que je n’étais jamais la dernière à relever. Or, j’avais bien compris dès le départ qu’au travers de ces viols à répétition, c’était bien plus mon esprit que l’on essayait de détruire bien plus que mon corps. Il fallait m’humilier, me rabaisser, me déshumaniser… Et c’est pourquoi j’avais également décidé dès le départ que je ne devrais jamais attacher d’importance à ce qu’ils me faisaient subir, me mentant sans doute à moi-même en me disant que ce n’était finalement que quelques queues de plus dans mon existence et qu’elles ne décideraient pas plus de mon destin que toutes celles que j’avais connues auparavant. De même, ces connards avaient-ils conscience, lorsqu’ils m’attachaient dans d’invraisemblables positions destinées à me faire souffrir au-delà du supportable, que mon passé de gymnase était passé par là ? Que lorsque j’avais droit à d’intenses séances de fouet ou de cravache, j’avais autrefois ...
    ... expérimenté – par curiosité et de mon plein gré – l’univers du sado-maso et que je connaissais donc l’effet sur mon propre corps de toutes ces triques, de tous ces martinets, de toutes ces badines ? Que j’avais appris à ne jamais crier, à ne jamais supplier, et que ce n’était certainement pas avec eux que j’allais commencer ? Ce n’est qu’au bout d’environ quinze jours que j’ai vu débouler ce très cher oncle à la porte de l’espèce de geôle puante qui me servait de cellule. D’une certaine façon, j’aurais bien dû me douter que j’allais recevoir la visite d’une personne importante puisqu’à quatre heures du matin, j’avais eu droit à un nettoyage soigné de mon réduit et de moi-même à grands coups d’eau glaciale et de lance à incendie ! Quasiment sans surprise, son premier réflexe avait été de vouloir me violer… À l’écouter, j’allais hurler, que ce serait absolument terrible, que jamais je n’aurais eu aussi mal, que jamais je n’aurais connu un mâle comme lui… Sauf que, compte tenu de mon passé et de tout ce qu’ils m’avaient déjà fait subir, cela n’aurait déjà pas été gagné avec une grosse bite, mais avec l’espèce de machin ridicule qui lui traînait entre les jambes, il ne risquait pas beaucoup de m’entendre gueuler ! Cela n’a naturellement pas amélioré mes conditions de détention par la suite, mais, au final, voir la gueule qu’il avait tirée lorsqu’il m’avait brutalement sodomisée sans que cela ne me fasse ni chaud ni froid valait bien quelques privations supplémentaires assorties ...
«1...345...36»