Pauline - Années étudiantes (14)
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... m’éclate comme une folle. Bisous ma fille, ta mère qui t’aime ». J’étais énervée, je suis allée voir mon père, je l’ai giflé en lui disant « Alors couille molle, pas capable de me donner une autre leçon ? ». Il me sourit, me caressa tendrement la joue et me dit « Je suis désolée ma fille. Ta mère est … On ne peut pas changer de parent. Va chercher ton vibromasseur, je vais te réconfoter avec ». Voilà, mon père ne pouvait pas payer, je ne voulais pas lâcher mon appartement et ma mère était et restait qu’une sale grosse conne égoïste. Je repensais aux appels à répétition de la police. Le dernier, c’était un des chefs, un responsable. Il tenta de m’intimider, et il réussit. Mais j’ai gardé mon calme et je lui ai dit qu’au prochain appel, je prendrai un avocat pour porter plainte pour harcèlement, et également pour maltraitance. Je lui ai rappelé que j’avais été arrêtée, menottée, interrogée comme si j’étais coupable de quoi que ce soit. Il changea son discours, tenta de jouer sur les sentiments, son mon empathie : • Comprenez que mon but est d’éviter qu’il y ait d’autres victimes. • Je ne suis pas une victime. J’ai été abusée, c’est tout. Mais, c’est fini, je ne veux plus rien avoir à faire avec cette histoire. • Vous ne pouvez pas dire ça… • Je peux. J’étais consentante, comme les autres avant moi. • … Avant vous ? Il y en a eu d’autres ? • Faites votre enquête sérieusement. Ne me rappelez plus jamais. Tout ça s’est du passé pour moi et qui n’a aucune importance. Au revoir, ...
... monsieur. Et j’avais raccroché, et ils ne m’ont pas rappelée. Le train était sur le point de rentrer en gare. Je me demandais si le livre que j’avais trouvé pour offrir à André allait lui plaire. Pourtant, lorsque je l’ai vu, je n’ai eu aucun doute : « relations entre un peintre et son modèle ». Je crois que je n’ai jamais marché aussi vite pour arriver à mon appartement. J’étais pressée de voir André. L’ascenseur semblait mettre trois heures à monter. Je me disais que j’aurais dû prendre l’escalier, j’y serai allée plus vite. Et enfin, je me suis retrouvée sur le palier. Je voulais poser mon sac avant d’aller le voir, mais j’ai été surprise de voir sa porte d’entrée ouverte. J’ai frappé doucement « André ? », je suis entrée, il manquait des meubles. Et une voix derrière moi me fit sursauter « Puis-je savoir ce que vous faites là ? ». Je me suis retournée, un homme que je ne connaissais pas, mais qui avait un air de ressemblance avec André. Il eut un temps d’attente avant de me dire • Vous êtes Pauline, n’est-ce pas ? C’est fou comme mon père a su aussi bien reproduire votre visage. • … Et… Il est où ? L’homme avait les yeux rouges, j’ai commencé à pleurer en me doutant de la réponse qui n’arriva jamais. Alors, j’ai demandé • Qu’est-ce qu’il s’est passé ? • Vous lui aviez dit d’aller voir un docteur, n’est-ce pas ? • Oui. Je m’inquiétais, il toussait beaucoup. • Il ne l’a pas fait. Quelqu’un de l’immeuble l’a retrouvé inconscient devant l’ascenseur. Il a été amené aux urgences. ...