Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (18) : au tour de Philippe !
Datte: 25/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... accouplement. Pour le moment, Philippe est couché sur le côté. Ils semblaient m’ignorer, ne se quittaient pas des yeux comme hypnotisés l’un par l’autre. J’étais à l’extrémité du lit, si bien qu’ils s’allongèrent côte à côte. Rachid était à ma droite, mais il me tournait le dos. Philippe caressa d’abord les cheveux bruns et épais de mon amant, sa main glissant ensuite vers son bras gauche, son flanc, ses fesses. Rachid, de sa main puissante, releva la cuisse de Philippe dont il couvrit son flanc. Les testicules de Rachid furent alors rejetés vers l’arrière, ce qui n’échappa nullement à Philippe qui s’en saisit. Je le voyais malaxer ces deux merveilles de la nature. Puis Philippe fut pris d’une flamme qui le poussa à embrasser son partenaire. Rachid le macho acceptait ce baiser. Leurs langues s’entrelaçaient en dehors de leur bouche avec des bruits de succion qui éveillaient en moi un émoi sensuel. Il apparut que les rôles étaient déjà distribués depuis le début, que chacun savait ce qu’il avait à faire. Philippe s’allongeant sur le dos, signe de soumission, invitait Rachid à le pénétrer. Rachid préparait l’orifice qui lui donnerait le bonheur, y allant de plusieurs doigts. Il me demanda d’aider à la décontraction des muscles, ma langue venait humidifier cette auréole qui était maintenant sa convoitise. J’avais déjà léché l’anus de Philippe, par plaisir pur, pour son plaisir, avant de stimuler sa prostate de mes doigts avertis. • Prépare ton mari, femme. Il va l’avoir dans ...
... le cul. Je m’approchais de ce cul que j’avais si souvent godé. La raie était légèrement plus sombre et laissait entrevoir la rondelle grise et palpitante de l’anus. Je ne me posais plus aucune question. Cette rondelle m’attirait comme un aimant et depuis ce moment-là, mon seul objectif était d’en prendre possession qu’il soit ensuite défoncé avec force par mon amant. Je fis allonger Philippe sur le ventre pour mieux le voir et avoir plus facilement accès à son dos et à ses fesses. Je me mis à lui caresser et embrasser le dos, les épaules le haut des hanches, avant de m’attaquer à ses fesses. Je promenai mes lèvres et ma langue sur l’une et l’autre des fesses tout en promenant les doigts de ma main le long de la fente. De temps en temps, je m’arrêtai sur l’anus pour le tâter et y introduire un doigt. Philippe, qui aimait mes baisers et mes caresses, me le montrait en gémissant doucement et en tortillant ses hanches, se figeait à chaque fois que j’approchais un doigt de son anus. Comme s’il attendait que je l’enfonce à l’intérieur. • Enfonce-le ! disait-il, chaque fois qu’il sentait mon doigt s’approcher. Chaque fois que je l’en éloignai, il poussait un soupir de protestation, avant de se remettre à gémir et à tortiller son cul sous mes baisers et caresses. Puis je me décidais à m’attaquer à l’anus. Je crachai sur mes doigts et enduisis la rondelle de salive pour la lubrifier. Je tâtai l’endroit pour en tester la résistance et d’un coup enfonçai deux doigts. Philippe poussa un ...