Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (18) : au tour de Philippe !
Datte: 25/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... petit cri de douleur, mais ne fit rien pour m’arrêter. Les deux doigts dans le cul, je forçais les hanches à se relever au maximum et à obliger Philippe à se mettre à quatre pattes. Il ne se fit pas prier. Il sentait que le moment de vérité arrivait; le moment où il allait accueillir l’immense sexe qui le faisait fantasmer. A quatre pattes, j’avais le loisir d’avoir sous les yeux le superbe cul de Philipe, complètement offert à ma concupiscence. En dessous de la rondelle, je pouvais apercevoir les couilles et le sexe de mon mari. La nature l’avait pourvu d’un petit sexe. Mais ce petit sexe était en érection ! Preuve de l’état de très forte excitation dans laquelle il était. Rachid bandait comme un âne ! Rachid voulait, sans plus attendre, prendre possession du superbe cul de Philippe. Il voulait le tirer en force ! Il voulait lui faire mal ! Il voulait qu’il se rappelle toute sa vie de cet immense zob qui lui avait rempli le ventre ! Je crachais une nouvelle fois dans ma main et enduisit l’anus de salive. Sans plus attendre, Rachid se plaçait derrière les fesses offertes, positionnait le gland à l’entrée de l’anus et d’une forte poussée de ses hanches, introduisit toute la queue à l’intérieur, jusqu’à ce que ses couilles cognent contre les fesses. Philippe poussa un énorme cri de douleur. Philippe avait l’habitude que je le gode, mais n’avait jamais été pris par un pareil engin. Celui de Rachid lui fit très mal. Il avait du mal à aller et venir à l’intérieur de l’étroit ...
... boyau. • Putain, t’es serré cocu. Mais ce n’en est que meilleur ! Quelle magnifique sensation ce cul aussi étroit et aussi serré sur mon sexe ! • J’ai mal, mais n’arrête pas, mec, casse moi le cul. Vas-y, après ma femme, c’est mon tour ! Je prends la queue de Philippe pour le branler pendant qu’il se fera enculer. Curieuse je regarde comment la bite entre dans le cul de mon époux. J’ai commencé la masturbation : Philippe bande toujours autant, s‘il avait mal, il débanderait certainement. La bite va et vient dans le cul. Rachid commence à pilonner Philippe d’abord lentement, puis plus vite. Il va de plus en plus loin dans son cul. Je suis bien placée pour savoir ce qu’il ressent. Le visage de Philippe exprime la jouissance, il sent bien la verge du mâle en lui, elle le comble, la verge coulisse facilement. Il ressort, rentre de nouveau, il pousse un cri, il s’enfonce et rentre son membre en lui jusqu’aux couilles. Rachid entreprit de piner Philippe avec force, sans se soucier de ses cris de douleur. Il savait qu’au bout d’un moment, le temps d’une meilleure lubrification, la douleur se transformera en plaisir. Très rapidement, Philippe se mit à pousser de petits cris de plaisir, chaque fois que le sexe de notre amant le pénétrait jusqu’au fond. Le petit cri se transforma très vite en un très fort gémissement rauque, de plus en plus court et de plus en plus rapide. Philippe ne s’appartenait plus ! Il était tout à son plaisir et à sa jouissance ! Il gigotait de plus en plus fort; ...