1. Mon fils, cet étalon. (3)


    Datte: 26/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    On boit notre verre de champagne. Mon Jérôme n’a d’yeux que pour le décolleté d’Éva. Je lui demande de nous resservir, ce qu’il fait promptement. Il bande, le salop. Je fais signe à Éva qui l’a vu aussi. Elle me sourit et passe sa langue sur ses lèvres. Serait-elle coquine ? En tout cas, pour une fille de 24 ans, elle se délecte de la vue du sexe de mon fils. La bosse descend aux trois quarts de sa cuisse. Phénoménal ! Il est temps pour moi de les laisser et de préparer ma fondue. Je suis dans la cuisine et je peux les entendre discuter. — Qu’est-ce que tu fous chez moi ? — Je suis invité... Pour une fois... — Mais... Ma mère ? Comment la connais-tu ? Elle lui explique la perte de son foulard, le café et mon invitation. — Cela te dérange que je connaisse ta mère ? — Non, non, c’est pas ça... — Quoi alors ? — Je ne peux pas te dire... — C’est la taille de ton sexe ? Moi j’aime bien. Bien que je ne l’aie jamais vu. Et ta mère ? Quelle effrontée... Mais elle a raison. Elle me plaît la bite de mon fiston. Je me concentre sur ma fondue. — Pfffttt, n’importe quoi... — Tu n’as qu’à voir la tête qu’elle a faite en voyant ton érection. — Allez, les enfants, à table... Tu peux descendre à la cave nous chercher un bon vin blanc, j’ai fini la première dans la fondue. — M’oui, m’an. Une fois toutes les deux, je lui dis que j’avais tout entendu. Elle me dit qu’elle y comptait bien. Je lui dis qu’elle est coquine. Elle me répond du tac au tac qu’elle aime mon fils et sa timidité maladive. ...
    ... Elle sait qu’elle lui plaît par ses bandaisons quasi permanentes à chaque fois qu’ils sont ensemble. Qu’elle n’a jamais vu sa bite en vrai. — Moi si, à deux occasions. Une fois au repos, une fois en pleine action. — Et ? — Elle est immense... Il y a de la place pour deux... Mais Jérôme revient avec une bouteille de Jurançon. On mange et comme dans toutes les fondues qui se doivent, un gage est donné à chaque fois que l’un des convives perd son pain. Ça les excite. La première à perdre est Éva. Je lui demande d’enlever son gilet, ce qui à pour conséquence de dévoiler un peu plus son opulente poitrine. La Seconde, c’est moi. Je demande à Éva quel gage elle me donne. — Enlève ton haut. Quelle perverse. Elle sait que je n’ai pas de soutien, mais je me laisse aller. Il m’a déjà vu en topless. Je déboutonne mon haut et le retire sensuellement. Mes tétons pointent. Il rougit. Au troisième gage, c’est encore Éva. Je lui demande de retirer sa jupe. Elle s’applique à l’enlever en se tortillant. Jérôme ne sait plus où se mettre, regarder. Il glisse discrètement sa main sur la bosse de son pantalon pour replacer son membre. J’imagine que cela doit être inconfortable. Au quatrième, Jérôme perd son morceau de pain. Aussitôt Éva lui demande de retirer son pantalon. À contrecœur, il se contorsionne sur sa chaise et l’enlève. Il est malin, on ne peut pas voir son sexe. Cinquième gage et le deuxième pour moi. Jérôme prend les devants et me demande d’enlever ma jupe. Je procède comme lui, en me ...
«123»