1. Mon fils, cet étalon. (3)


    Datte: 26/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... dandinant sur ma chaise, j’arrive à la retirer. Je lis la déception sur la tête de mon fils. Qu’est-ce qu’il croyait ? P’tit vicelard. Il veut nous voir perdre ? Mais perdre quoi ? — Va nous rechercher une bouteille... Celle-ci est vide. Sans réfléchir il se lève. Erreur fatale. Son gourdin sort par la jambe de son caleçon. Il ne se dérobe pas, il part à la cave avec son monstre entre les cuisses. Éva et moi, on reste bouche bée. Il s’exhibe, mon petit Jérôme exhibe sa virilité à sa mère et cela devant son amie. — La vache, dit Éva, je le savais énorme, mais là... — Oui, lui répondis-je, et il n’est pas au mieux de sa forme. Il doit être intimidé. On débarrasse vite fait la table et d’un commun accord, on se fout à poil et on se rassoit chacune à notre place. Quand mon fils réapparaît, il bande comme un âne et ce n’est pas son caleçon qui masquera cette bite immense. Il n’a même pas remarqué que l’on était nue sous la nappe. Il s’assied et nous sert. On pouffe de rire, Éva et moi. Il nous interroge du regard. Comme deux femelles en chaleur, on écarte nos jambes et nos genoux viennent s’entrechoquer. Elle a le même reflexe que moi, une main se pose sur nos cuisses. On se regarde et on rigole nerveusement. Qui, des deux, osera faire le premier pas. Jérôme, tel Candice, ne remarque rien de notre petit jeu de séduction. Il sirote son verre. Quand Éva se lève, c’est une charmante créature qui s’offre à nos yeux. Certes, elle a des rondeurs mais pas une trace de cellulite ou de ...
    ... peau d’orange. Son ventre est plat, signe d’une sportivité intensive. Ses seins jouent avec la loi de la pesanteur et sa chatte est totalement glabre. Elle me fait envie cette petite garce. — Viens ici, Éva. J’ai quelque chose à te dire. Debout à côté de moi, elle se penche. La vue de ses mamelles est intenable. Je lui tire ses gros tétons bandés. Elle gémit et écarte les jambes. De mon autre main, je lui caresse son mont de Vénus. Elle ferme les yeux. — Non ! Ouvre tes yeux, lui dis-je d’un ton autoritaire, je veux que tu me regardes. Jérôme n’en croit pas ses yeux et ses oreilles. Il n’a d’yeux que pour le corps de sa copine et je le comprends. Je la tire par la nuque et lui roule un patin enfiévré. Nos langues s’enroulent comme deux serpents en rut. Ce baiser est divin. Je regarde mon fils, il n’ose bouger, il est comme pétrifié. La petite Éva est sous mon emprise, je le sens à ses réactions, son manque de réaction. Elle est comme une motte de beurre au soleil, elle fond. Elle a ses deux bras tendus sur mes cuisses. Je lui appuie sur ses épaules pour qu’elle se mette accroupie. Je sens l’odeur de son souffle sur mon sexe soigneusement épilé. J’ai juste un "V" au-dessus indiquant le chemin. J’appuie sur sa tête, elle a compris. Sa langue est loin d’être novice. Elle me fouille et trouve très vite mon clitoris. Elle me bouffe sans retenue aucune. Elle aime ça, ça se sent. Elle me force à écarter les jambes plus que de raison. Mon fils n’en peut plus, il a quitté son dernier ...