Chloé à Paris (3)
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Trash,
J’ai enfilé ma robe en silence, essayant de reprendre mes esprits. Je ne savais plus où j’en étais avec cet homme qui me manipulait depuis la veille et m’amenait à me sentir coupable alors qu’il exigeait de moi des choses obscènes sans que j’y trouve à redire. Au contraire, j’étais vexée parce que je n’avais pas su lui demander de lui faire une fellation. Je ne le vis plus de la journée et travaillai d’arrache-pied à lire et annoter des romans. Ce n’était pas des textes difficiles, juste des romans français écrits par des écrivains lambda. En sortant, je passai récupérer mon maillot de bain et filai à la piscine. Vingt longueurs plus tard j’étais épuisée mais l’esprit vidé de toute scorie. Le soir, je m’astreignis à étudier de nouvelles vidéos en me concentrant sur le vocabulaire employé ; et parfois les dialogues étaient particulièrement colorés, vulgaires voire orduriers. Sans y penser, je me caressais en essayant de percer le mystère des gorges profondes. Pas facile à comprendre, car si certaines filles semblaient avoir la technique d’un avaleur de sabre, d’autres vomissaient dès que le sexe masculin butait au fond de la gorge. Mes lectures sur cette technique me permirent de comprendre que tout dépendait de la déglutition, qu’il fallait maîtriser le réflexe de vomir quand on touchait la luette. Le lendemain matin, je me demandai en allant travailler ce que mon patron allait encore exiger de moi. Dans le métro, je me repliai sur moi-même, douloureusement consciente de ma ...
... nudité sous la robe. Je me mis nue dans son bureau et attendis, tentant en vain de me décontracter. Pas facile de rester immobile, complètement offerte, dos à une porte même pas fermée à clef. Je me détendais peu à peu quand l’ascenseur s’arrêta à l’étage. Je me raidis aussitôt, tremblant imperceptiblement quand la porte s’ouvrit derrière moi. — Écarte tes jambes, il n’y a pas un mètre ! C’est mieux, je te punirai si tu n’arrives pas à te positionner toute seule. Une douleur vive sur la fesse droite me fit pousser un petit cri aigu. Il venait de me donner une bonneclaque du plat de la main ! Je me calmai en respirant par la bouche. Il en profita pour glisserdeux doigts joints entre mes lèvres en me dévisageant d’un air autoritaire. — Suce mes doigts, montre que tu es une bonne pipeuse. Là, c’est bien. Les yeux dans ses yeux, malgré la rougeur montait jusqu’à mes oreilles devenues brûlantes, je m’appliquai à lécher ses doigts jusqu’à ce qu’il les retire. — Alors, tu as toujours envie de me sucer ? — Oui Monsieur. Si vous le souhaitez. — Alors demande-moi. — Oui Monsieur. Si vous le souhaitez, votre salope est prête à vous sucer. À sucer votre bite. — C’est mieux, mais tu n’es pas assez explicite. Pas assez salace. Pour te punir, je vais claquer tes fesses dix fois. Demain ce sera avec la ceinture si tu me déçois encore. — Oui, pardon Monsieur. J’allai travailler en pleurnichant, les fesses brûlantes de la punition reçue. Il n’y était pas allé de main morte, c’est le cas de le ...