Chloé à Paris (3)
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Trash,
... virilité. Libérée, la verge se tendit vers moi, provoquant mon émoi accompagné d’un mouvement de recul. Ma première verge pour de vrai ! Je l’examinai d’un œil méfiant : moins grosse que celles vues sur le Net, elle me parut presque appétissante, le gland effilé et violacé couronnant un fût pas très long et un peu conique, sillonné de veines épaisses en relief. Je me mordis la lèvre inférieure avant de l’humecter, déclenchant l’impatience de Chandler. — Eh bien, tu te dépêches ? Ou tu préfères que je te punisse encore. — Non, je regardais... — C’est vrai que c’est ta première bite, constata-t-il d’un ton radouci. Elle te fait envie ? — Oui, je vais… Je ne finis pas ma phrase, préférant avancer ma bouche et gober le gland. Tiède, doux, au goût un peu salé… Avec un parfum de savon aussi. Au moins mon patron faisait preuve d’hygiène corporelle, j’appréciai. Je creusai mes joues pour pomper le plus fort que je pouvais, arrachant un gémissement de plaisir à Chandler qui posa la main sur ma nuque. Il commença à me guider de la voix et du geste, m’attirant en avant pour me faire avaler l’intégralité de la colonne de chair. Eh bien, la théorie, ce n’est pas la pratique ! Je m’étranglai et manquai de vomir, secouée par des haut-le-cœur épouvantables. La main dans mes cheveux me guidait en avant, en arrière, je jouais de la langue sur la colonne de chair bien raide qui frémissait joliment sous mes caresses. Docilement, je relevai les yeux vers ceux de Chandler qui souriait de manière ...
... diabolique. Je compris qu’il allait jouir aux soudaines contractions qui parcoururent sa verge, mais n’essayai pas de m’échapper. J’avais intégré qu’il me fallait recevoir sa semence en bouche. Là aussi, j’avais tout bon, sauf que je n’avais pas prévu de m’étrangler quand la semence jaillit ; je toussai, le sperme ressortant par mes narines. Les yeux brouillés de larmes, je me reculai pour tousser et cracher encore, au grand mécontentement de mon patron. — Tu es nulle ! Tu n’as aucune expérience, c’est vrai, mais tu aurais pu essayer d’avaler mon sperme. C’est un honneur pour une salope comme toi de boire la semence de son maître ! J’avais du mal à retrouver mon souffle, déglutissant pour contenir la nausée qui menaçait de me faire vomir. J’avais bavé sur ma poitrine dressée, sur mes cuisses. Je ne devais pas présenter une bonne image de moi, si j’étais incapable de donner du plaisir à mon patron sans me comporter comme une souillon. Pour un peu, j’en aurais pleuré. Je soupirai un peu fort, dépitée. — Je vous prie de m’excuser, Monsieur. J’espère m’améliorer, si toutefois vous voulez encore de moi. — On verra ; file travailler, tu as plusieurs ouvrages à relire. Le lendemain matin, j’étais en position quand l’ascenseur s’arrêta. Je pris une grande inspiration, creusant mon ventre et me concentrant pour rester bien en place. Chandler caressa mon épaule en passant devant moi, me faisant frissonner. — Alors, ma petite salope, tu as quelque chose à dire ? — Oui, bonjour Monsieur. ...