1. Leçons d'Amours


    Datte: 27/05/2019, Catégories: Hardcore, Lesbienne Partouze / Groupe

    ... délicieuse, un bijou de professionnelle, rien à redire…D’un coup, je saute sur elle, la plaque sur le lit, elle est tombée sur le ventre, les fesses en l’air… Un petit cri de surprise, mais elle a fermé la porte en entrant.Son fessier me tend les bras, elle est inerte, plaquée de toutes mes forces…J’ai coincé ses bras, elle ne peut se relever… je fouille dans ma valise, trouve les liens de soie, je les passe dans ses poignets et l’attache aux barreaux du lit…- Tu avais prévu… Tu es dément, pervers, tu veux me violer…Elle sent mon dard dans ses fesses, je me redresse, caresse ses seins, elle roucoule…Je passe une main entre ses cuisses, elle est trempée…La garce a mouillé tandis qu’elle me pompait le dard et qu’elle se caressait à outrance, je suis certain qu’elle a joui…A moins qu’elles ne se soient excitées, avec Marianne, se goussant tendrement pour revenir aux sources… Elles ont dû le faire avant de venir, tout l’après-midi en rentrant du port…Elle soulève ses fesses, ma bite est prête à la démonter… je m’approche et mouille son petit trou, sa chatte, toute son intimité et ma langue retrouve ce goût de fleurs, cette senteur enivrante, je me délecte de son jus qui suinte de son abricot… Les lèvres rosées finement découpées, sont agrandies par ce désir…Elle gémit doucement… Elle ondule…Ma langue plonge, revient, glisse, revient sur le clitoris, tendu comme un minuscule sexe érigé… Elle frémit, se tort, couine…- Oh… Oui… Souviens-toi, si tu me prends, je suis à toi, tu me ...
    ... choisis. Ta semence viendra sceller notre amour naissant…Je glisse un doigt dans son anus… Elle délire…- Oh, sadique, tu vas me sodomiser… je ne peux pas me défendre, je suis entravée, prisonnière de tes perversités…Le doigt tourne, les chairs se relâchent…Elle ne s’attend pas à ce que je vais lui faire…Je glisse ma main sur sa vulve, titille, ouvre, excite au plus haut point, qu’elle gémit et qu’elle qu’un orgasme survient, j’en profite pour la prendre de toutes mes forces, la violant comme elle est offerte, ouverte, pleurant…- Aïe, tu fais mal… Aïe, que c’est bon…Je la défonce sans ménagement, son vagin explose sous mes coups de bite rageurs, elle est ouverte comme jamais, elle aimerait se tourner que je la prenne à la papa maman, missionnaire…Non, je suis en elle, au fond, contre son utérus et je la baise comme un malpropre, comme un soudard, elle crie encore, se soulève, en redemande…Je me retire et elle gémit…- Non, encore…La seconde salve est traîtresse, soudaine comme la première, mais pleine d’ardeur sauvage, elle est défoncée par un arbre de vie, un monstre de chair qui la pourfend, qui ouvre son intimité secrète, ses chairs roses, sa rondelle étroite a volé en éclats, en ressortant, je contemple un trou béant, luisant…Elle s’y attendait, elle pleure…Elle a juste crié, puis a eu un instant comme une absence, puis elle a senti le plaisir arriver, effacer la douleur soudaine de cette intrusion, mon phallus planté entre ses fesses, dans son superbe fessier si rond et si ...
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