Commande - Deux - Histoires de Sexe

Commande - Deux

... l’oreille de Séverine : — Tu aimerais que ton mari te voie, maintenant, avec une autre queue dans la chatte ?— Ouiiiiiiiiiii oh ouiiiiiii !— Et qu’est-ce que tu ferais, s’il te voyait te faire tringler comme ça ?— Je… je… je le sucerai…— Et ensuite ?— Ensuite… qu’il me tire ! Qu’il me mette sa queue, le salaud ! Pour Séverine l’oralisation accélérait la venue de l’orgasme. Elle poussa à nouveau un grand cri et s’arc-bouta. Elle devait jouir intensément. Cela eut pour effet de faire craquer Manu. Lui aussi sortit sa bite avant la fin de l’éjaculation et lâcha le reste du sperme sur la chatte, la toison et le ventre de Séverine. Il libéra ses cuisses et contempla la chatte et la toison inondée par le jus épais et chaud qu’il étala sur le ventre et les seins. — Putain, t’es vraiment une divine salope, dit-il en accompagnement de sa caresse. Des baiseuses comme toi, on en voit rarement. T’as aimé ?— Oui, murmura Séverine dans un souffle. Manu la doigta : — T’as beaucoup aimé ?— Ouiiiii… oui beaucoooup ! répondit-elle en se tortillant.— Tu sais que tu n’en as pas fini, que tu vas encore avoir des queues ?— … Manu introduisit trois doigts dans la fente et se mit à la branler. — Tu veux encore âtre défoncée ?— Oui… Il accéléra. — Ouiiiiii… oh ouiiiii… des queues ! Mettez-moi tous vos queues ! Gérard prit la place de Manu. D’une main il frotta sa bite de haut en bas le long de la fente, de l’autre il doigta le clito bien visible, largement offert. Séverine recommença à se ...

... tortiller. — C’est quand tu veux, lui dit Gérard.— Maintenant… maintenant… à fond. Gérard ne se fit pas prier. Il agrippa les hanches de Séverine, la pénétra lentement puis commença son queutage dès qu’il fut couché sur elle, la plaquant très fort au sol. Gérard avait aussi compris que Séverine était sensible aux mots crus. — J’ai jamais vu une baiseuse comme toi… une folle de queues… une fabuleuse machine à bites… t’aimerais bien être bourrée toute la nuit, toi… Yeux exorbités, Séverine buvait ses paroles tout en savourant le poids du mâle sur elle et la queue qui l’entreprenait entre ses cuisses. Sa chatte noyée dans le sperme des giclées précédentes subissait le piston du dard avec délices. — Nom de Dieu, dit Gérard, tu m’as trop excité… Je vais être obligé de te foutre la chatte tout de suite. Cramponne-toi. Séverine obéit. Ses mains se plaquèrent sur les hanches de Gérard et s’y accrochèrent. — Donne ton rythme, et dis-moi quand tu veux la sauce. Séverine accéléra les mouvements de Gérard. Ses mains se firent de plus en plus pressées, de plus en plus insistantes. Puis elle hurla : — Le jus, salaud, mets-moi le jus. Elle se cambra, levant le bassin du sol, ouvrant les cuisses au maximum. La giclée la fusilla. — Aaaaahhhhh… oh ouiiiiiiiiiiiiiii… c’est boooooon ! Je prévins Séverine : — Il reste encore Michel, tu dois terminer ton boulot. Tout ce spectacle avait rendu fou Michel qui n’en pouvait plus d’attendre. Il défonça Séverine quasi brutalement, mais la victime avait l’air ...