La fibre ou la vie
Datte: 28/05/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
cocus,
vidéox,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
... réussir. C’est un reflet sur l’objectif qui m’a mis la puce à l’oreille. Un reflet bien anodin, mais ajouté à : — Moi, je pense que vous aviez une idée derrière la tête.— Mais non, voyons, laquelle ? Elle se dresse comme si je l’avais injuriée. — Jean, tu deviens parano.— Ma chérie, je suis désolé de briser tes rêves, mais si Astrid a entrepris de te séduire, c’est pour que tu deviennes son alliée et me conseilles de retenir son mari pour le poste. Pour avoir, le cas échéant, un moyen de pression si vos baises ne suffisaient pas, elle a entrepris de vous filmer. Pour être bien certaine que tu ne puisses pas refuser, elle a même organisé ces séances de domination. Le chantage aurait été encore plus fort. J’imagine que tu n’aurais pas eu d’autres solutions si tu ne voulais pas que j’apprenne votre liaison. N’est-ce pas, Astrid ? La femme reste silencieuse et c’est encore pire qu’un aveu. Je continue. — Ce qui m’étonne, c’est qu’Alain vous ait lancé dans cette aventure. Cela ne cadre pas avec ce que je sais de lui. Mais connaît-on vraiment les gens ? Je le regretterai, mais bien entendu je vais le licencier. Je me vois mal continuer de travailler avec lui. Il a de la chance que je ne puisse pas donner la vraie raison de son licenciement, car cela fera les gorges chaudes autour de nous. Alors Astrid devient livide et avoue en pleurant : — Non ! Non ! Il n’est pas au courant. Il ne m’a rien demandé. C’est moi qui ai tout imaginé.— Mais pourquoi ?— Parce que s’il n’a pas cette ...
... place, il m’a dit qu’il ne pourrait pas rester. Qu’il quitterait votre entreprise, qu’on déménagerait et moi je ne veux pas. Je suis bien ici, mon travail me plaît, nous y avons tous nos amis. Alors j’ai pensé à cette façon. Pendant tout le temps où j’ai démontré le plan de son amie, ma femme n’a pas vraiment réagi. Peut-être qu’elle ne voulait pas y croire. Mais l’aveu d’Astrid la fait sortir de son silence. — Salope. T’es vraiment une salope. Me faire ça. Pour te servir de moi. Moi qui croyais que tu avais du plaisir alors que tu simulais pour mieux me séduire…— Julie, je comprends ta colère, mais tu ne peux pas croire que je simulais. Je… Son regard va de moi à mon épouse. Elle semble hésiter, mais reprends en la fixant dans les yeux : — Jamais. Non jamais je n’ai simulé… Mais cela ne calme pas la colère de ma femme. — Même, et même si c’est vrai, tu m’as piégée. Tu m’as fait faire des choses… Oh, mon Dieu, quand j’y pense. Jamais je n’aurais fait… Tu m’as séduite. C’est toi qui m’as dirigée pour arriver à tes fins. Tu m’as pervertie…— Chérie ! dis-je. Sans vouloir prendre la défense d’Astrid, il faut reconnaître qu’elle ne t’a pas forcée, et que…— Mais comment peux-tu penser ?— Je ne pense pas, je constate. Le premier jour, tu aurais pu la repousser.— Oui, mais… surprise… piscine… amies… Julie ne fait pas de phrases, mais ses mots lui rappellent les circonstances. — Mettons que, par peur du scandale, tu n’as pas fait d’esclandre, mais le lendemain. Tu oublies que j’ai ...