1. La fibre ou la vie


    Datte: 28/05/2019, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance,

    ... visionné vos rencontres et que le lendemain tu l’attendais en robe d’été et rien dessous. Cela m’a rappelé des souvenirs d’ailleurs… (Julie baisse la tête). Le lendemain, et les autres fois aussi. Je ne t’ai jamais vue protester, au contraire. Veux-tu que nous regardions les enregistrements ensemble… C’est très parlant…— Jean, excusez-moi encore. C’est de ma faute. Julie n’a fait que…— Non Astrid, c’est aussi ma faute. Tu restes une salope pour moi, mais je reconnais que tu as réveillé des souvenirs en moi et que je me suis laissé emporter par la suite… Un silence et elle reprend : — Qu’allons-nous faire ? Jean, mon chéri, je suis désolée. J’ai fait une erreur. J’espère que tu me pardonneras.— Je voudrais te poser une question.— Oui ?— Tu as dit à Astrid que tu avais été au courant de ma liaison, que tu avais hésité à te venger, mais que tu ne l’avais pas fait et que pendant toutes ces années tu avais été fidèle. C’est vrai ?— Oui.— Je m’excuse pour cet écart de ma part. Un moment de faiblesse… J’hésite et : — Un peu comme toi avec Astrid. On pourrait dire que, d’une certaine façon, nous effaçons l’ardoise.— Oh merci, mon chéri. Je suis désolée que toi tu aies dû supporter la vision de mes faiblesses.— Oh, ce n’était finalement pas si désagréable à regarder. Cette remarque m’est venue sans réfléchir. C’est vrai qu’une fois la surprise passée, les « évolutions » de ces deux femmes ne manquaient pas de beauté sensuelle, d’érotisme et je n’ai pas peur de le dire carrément ...
    ... pornographique dans certains « mouvements ». Julie « digère » mon aveu, mais Astrid profite de ce moment de pardon et d’aveux intimes pour essayer à nouveau : — Je peux partir ? Prenez la mémoire de ma caméra. Je n’ai pas d’autres copies. Je vous promets que jamais je ne parlerai de cela. J’espère que vous me pardonnerez. Mon mari ne mérite pas d’être puni par ma faute.— Ah, non, tu ne vas pas partir comme ça. Toi et moi devons remercier Jean de son pardon. N’est-ce pas, chéri, que tu lui pardonnes aussi ?— Je ne vais pas gâcher la vie d’Alain à cause d’une entourloupe, heureusement ratée de sa femme.— Tu vois. Il te pardonne… Il mérite bien que nous lui… Julie se lève. Elle défait la ceinture de son peignoir et le laisse tomber. La main qu’elle tend à sa complice est ferme. Astrid se lève aussi. Julie défait son peignoir. Lui aussi tombe à terre. Les deux femmes se font face. Elles sont belles, encore plus belles qu’en vidéos de basse définition. Le contraste est encore plus fort. Julie pourtant encore bronzée de nos vacances paraît bien pâle comparée à la peau sombre d’Astrid, gazelle d’Afrique, faisant face à la maturité Européenne. Je crois que c’est en me calant confortablement dans mon fauteuil que j’ai donné un accord silencieux. Si les femmes hésitaient, elles commencent à se rapprocher. La table basse me sépare d’elles et c’est bien plus près que n’importe qu’elle vidéo, fut-elle sur écran géant, en 4K et avec une caméra qu’un voyeur déplace. Rien de comparable à ces deux ...
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