Un raton laveur au paradis
Datte: 29/05/2019,
Catégories:
ffh,
fbi,
frousses,
vacances,
forêt,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
humour,
québec,
couplea3,
nature,
... lâcha, se suça le doigt qui sortait du cul, se redressa et claqua fortement les fesses de Marie de la main droite, l’autre posée sur ses reins, celle-ci sembla grandement apprécier en lâchant des « Ouuuu… Ah Oui…Câlice oui… » Les vibrations de claques se répercutaient jusque dans ma queue, un pur délice, et je fixais les fesses qui rebondissaient terriblement tout comme les seins de la tante. Une vision de rêve encore une fois. La vulve de Marie se remplit de liquide qui me dégoulinait sur les couilles tandis qu’elle s’empalait toujours sur ma queue. Mon gland était devenu si sensible que je grimaçais comme un pauvre prisonnier politique chinois. Puis Marie fut secouée par des spasmes tout à coup, peut-être qu’elle jouissait, la chanceuse. Pierrette me fixait, le sourire aux lèvres, elle s’amusait bien visiblement, comme toujours. Le bruit des claques sembla perturber Kato qui ouvrit un œil, mais juste un instant. Puis la tante stoppa pour refermer une main à la base de mon pénis et serrer très fort, Marie stoppa en geignant, le visage tout rougi, les yeux réduits à deux petites fentes et Pierrette se mit à secouer ma bite dans le vagin avec force. Je me crispai de plaisir, tous mes muscles se tendirent, mes orteils se dressèrent au garde-à-vous, si elle n’avait pas enserré ma bite aussi fort, j’aurais déchargé toute ma semence dans le vagin. Mais là, impossible, elle me bloquait le canal et Marie semblait jouir, elle rougissait jusqu’aux épaules en gémissant. On aurait pu ...
... croire qu’elle pleurait. Pierrette fixait ma bite à présent, très sérieuse, excitée sans doute autant par mon membre que le con juteux. Au bout d’un moment, Marie sembla à bout de force, je la sentais respirer très fort par son ventre collé au mien et Pierrette stoppa, se retourna et poussa du cul sa nièce pour que ma queue sorte de son vagin, elle s’en empara sans ménagement et s’assit dessus dos a Marie et un peu vite m’arrachant de sacrées grosses grimaces. J’avais le visage entre des seins chauds et j’en profitai pour en amener les pointes à ma bouche. Enfin ! — Ah, Pierrette, c’est pas correct ça ! se plaignit Marie tout sourire en se frottant le derrière contre celui de sa tante tandis que je suçais ses mamelons l’un après l’autre ou les deux en même temps en les agaçant du bout de la langue. Sa peau si douce goûtait salé, un pur délice, et les pointes de ses seins rallongeaient et gonflaient entre mes lèvres humides. Pierrette était aussi mouillée que sa nièce et il fallait que je pense à autre chose si je ne voulais pas jouir trop vite. OK ! Mais à quoi ? « La tortue géante à tête bleue des marais de Louisiane est sans doute… » Houfff… ! Au bout d’un moment, Marie se redressa sur les mains en me fixant, les yeux brumeux, me souriant en se frottant toujours le derrière contre celui de Pierrette, si belle que mon cœur s’emballa tandis que je pressais ses seins. Elle me tapota les mamelons d’un doigt, puis me les tordit… Encore. Outch ! J’allais jouir… « Le mégalodon était ...