1. Un raton laveur au paradis


    Datte: 29/05/2019, Catégories: ffh, fbi, frousses, vacances, forêt, amour, Oral 69, pénétratio, fdanus, humour, québec, couplea3, nature,

    ... un prédateur redoutable à l’époque de… » Marche pas. « Le saint Graal a été retrouvé dans une cathédrale en Italie grâce à la traduction… » Marche pas… « Angélina Jolie » « Ouuuu… pense à autre chose, pis vite… » « Pas trop de sel, de la moutarde séchée et un peu de coriandre, on coupe en tranches fines et… » Petit Jésus ! Encore un grosfrench puis Marie se retourna avec précautions et plaqua son sexe humide sur mon visage. J’y enfonçai ma langue aussitôt le nez contre son anus bombé en empoignant son beau cul à pleines mains. Je pus détailler en gros plan son étrange tatouage, deux petites cerises. Ça marche. Je repartis à la conquête du point G avec ma langue. J’allais sûrement arriver un jour à le trouver. Au passage j’agaçais l’anus qu’elle m’avait offert si généreusement tout à l’heure me promettant d’aller le visiter dès que je le pourrais. Pierrette se redressa, sortit ma bite de son con et je sentis deux bouches débordantes de salive me sucer tour à tour ou me la lécher. Ouf ! Deux langues l’une contre l’autre qui se tortillaient sur mon gland, des lèvres douces me mordillaient la peau, des doigts pressant mes couilles, ma hampe, une vraie torture. J’en frémissais de partout la bouche remplie de déjections vaginales. Quand une bouche se refermait sur ma bite, mes fesses se resserraient toutes seules et mon bassin se soulevait pour essayer de la pousser jusque dans la gorge. Kato ronflait. Pauvre madame Kato. Ma bite passait d’une bouche à l’autre, mon gland ...
    ... touchant des dents, des palais, des langues… Elles sefrenchaient contre ma queue ultrasensible… Puis une paire de seins mous m’enserra la bite tandis qu’une bouche me suçait le gland qui en jaillissait. Je léchais laplote de haut en bas jusqu’à l’anus bombé et salé pour me changer les idées. Pierrette se releva et Marie lui fourra ma bite dans le vagin sans la lâcher et je sentis le bout de sa petite langue pointue lui agacer le clito. Pierrette râla en sepognant les seins les yeux clos en s’empalant sur ma queue heurtant le poing fermé de sa nièce par adoption. Je rentrai ma langue dans le petit trou de Marie le plus profond possible et l’agitai. Elle grogna en dodelinant du cul… J’enfonçai en même temps deux doigts dans son con et sentis ma langue. Pierrette laissa ma bite ressortir et Marie la goba profondément et me suça, sa tante lui agrippa les cheveux pour la forcer à me pomper plus vite et plus profondément. Moi, je la fourrais toujours avec mes doigts et ma langue. C’était fantastique, presque trop. Parfois Pierrette relevait la tête de Marie pour la frencher puis la forçait à me ravaler. Au bout d’un moment j’allais enfin venir, mais… Elles me lâchèrent pour faire un beau 69, Pierrette en dessous. Je me faufilai derrière Marie pour la pénétrer en sentant Pierrette me gober les couilles. Un pur bonheur. Parfois je sortais ma bite du vagin pour me la faire sucer par la tante et, à la troisième fois, Marie me dit : — Dans le cul, Paul… Mais doucement. C’est ce que je fis, ...