1. Sandrine et les trahisons (7)


    Datte: 26/08/2017, Catégories: Hétéro

    Le lundi 29 mai au matin, j’échange des messages avec Sandrine. Elle est heureuse. Son mec est rentré, tout s’est apparemment bien passé. Il est juste crevé. Elle s’inquiète ensuite : — Tu vois Marjo à midi ? — Oui, on a rendez-vous à 12h15 chez moi. — Pourquoi tu fais ça ? Ça lui fait bien trop plaisir à cette conne. — J’ai un petit appareil photo que je peux déclencher à distance et qui est joliment caché chez moi. — Quoi ? T’es fou ! — Tu auras de la matière en plus à utiliser si jamais… Je suis chez moi à 12h10. Marjorie sonne à 12h20. J’ouvre la porte et oublie soudainement de respirer. Elle rit : — Oui, je sais, ça surprend toujours de me voir en tenue professionnelle. J’espère que ça ne te déplait pas trop. Si ça me déplait ? Marjorie porte un blazer bleu ciel cintré sur un chemisier à jabot blanc, accompagné d’une jupe plissée noire et de talons hauts. Nous nous embrassons. Elle laisse tomber son sac dans l’entrée et nous passons au salon. L’appareil-photo est dans la bibliothèque. Je passe les mains sur les fesses de Marjorie : — Ça t’a excité ce rendez-vous ? Elle rougit. — Arrête ! Heureusement que j’ai pris deux autres strings, j’en ai déjà trempé un ce matin ! Je ris en commençant à la déshabiller. Marjorie est aussi impatiente que lors de la soirée chez Sandrine. Je la prépare mieux et je suis stupéfait de la vitesse à laquelle elle s’ouvre. — Assieds-toi… Je prends place dans le canapé et Marjorie vient à califourchon sur moi, introduisant directement mon sexe ...
    ... dans son cul. A nouveau, son visage se métamorphose et elle glisse rapidement sur l’intégralité de mon sexe Si elle ne jouit pas, la belle prend néanmoins un plaisir immense à cette sodomie. Elle gémit, halète, jure. La sueur perle sur son front. Essoufflée, elle ralentit le rythme et j’en profite pour l’allonger sur canapé, sur le dos, toujours planté dans son fion. Et là, je regrette de ne plus avoir la caméra sur l’oreille et un micro : pour le regard si intense et si pervers de Marjorie; pour la vitesse à laquelle je la sodomise; pour ses tétons qu’elle pince; pour son clitoris qu’elle excite; pour ses mots crus et grossiers. Surexcité, je me retire au moment de jouir, jette la capote et décharge sur son ventre et ses seins. — Je comprends maintenant pourquoi je suis si frustrée avec mon mec. C’est comme ça que je veux baiser… Je l’accompagne à la salle de bains. Elle prend une douche. Un petit bisou et je vais préparer une petite table sur le balcon, au soleil. Marjorie revient au salon mais ne se rhabille pas. Elle remet uniquement ses sous-vêtements et vient manger. Au détour d’une discussion, nous revenons sur le sujet Sandrine. Je comprends à travers les mots de Marjorie la jalousie et les non-dits qui s’accumulent depuis plusieurs années. Sandrine a toujours considéré Marjorie comme une petite sœur et elle n’a pas compris que son amie avait grandi. Aujourd’hui, Marjorie ne supporte plus d’être regardée ainsi et Sandrine ne semble pas vouloir le comprendre. A 13h15, ...
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