Sandrine et les trahisons (7)
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
Hétéro
... Marjorie va se rhabiller et je ne dissimule pas mon plaisir de la voir passer ses vêtements. Je l’accompagne à la porte : — Tu es élégante, délicieuse et très excitante. — Ça te plait ? Vraiment ? — Oui, beaucoup. J’ai toujours eu un très gros faible pour les femmes en tailleur, chemisier et talons. D’autant plus quand elles portent ce genre de lunettes ! Elle rit. — Mon copain dit que ça me donne un air un peu pervers ? — Tu as tout de la secrétaire lubrique. Elle rit à nouveau et m’embrasse. Je lui demande : — Tu reviens demain ? — Je n’osais pas te le demander. — Même heure, même lieu. Marjorie viendra tous les jours jusqu’au mercredi 7 juin. Six autres pauses de midi à la sodomiser au salon ou dans la chambre. Six autres tenues plus élégantes, plus strictes et plus excitantes les unes que les autres. Six déjeuners à base de fruits, à discuter, à rire et à échanger. Malgré les réticences de Sandrine, une certaine complicité nait entre Marjorie et moi. Elle aimerait évoluer, grandir, être considérée, mais son entourage étant le même depuis des années, elle se retrouve insatisfaite à plusieurs points de vue : ses relations amicales l’infantilisent et sa relation amoureuse la frustre, tant sur le plan intellectuel que sexuel. J’en arrive à me dire que si Sandrine veut vraiment se venger de Marjorie, elle ne doit pas sortir les photos, car l’explosion qui suivra leur diffusion lui sera assurément très bénéfique à moyen terme. Elle pourra enfin prendre sa vie en main. mksmaaix ...
... Entre temps, le jeudi 1er juin, j’avais reçu un message de Aude. Curieusement, je l’avais reçu à 12h30 alors que j’étais en train de baiser Marjorie : "Coucou. Toujours ok pour ce soir ?". Je l’avais totalement oubliée. Elle devait effectivement passé chez moi après son boulot : "C’est sûr ! Je t’envoie l’adresse dans 5 min.". Aude était arrivée vers 19h15 et nous étions immédiatement passé au lit. Puis nous avions été manger une pizza. En sortant du restaurant, elle m’avait dit d’un air entendu : — On a fait l’amour tout à l’heure et je pensais que tu avais envie d’autre chose. J’avais souri : — Je pensais que tu aurais accepté un dernier verre chez moi. — Oh ! C’est… très volontiers. — Tu m’as fait peur, je pensais que tu voulais déjà rentrer. Elle avait ri. En arrivant chez moi, je l’avais sodomisée et elle avait adoré. Ça m’avait plu d’enculer les deux demoiselles d’honneur le même jour. Après notre affaire, je n’avais plus eu envie de la voir. Elle était partie assez vite et peut-être avait-elle remarqué mon agacement. Nous avions néanmoins pris rendez-vous pour le jeudi suivant. Le sexe pour le sexe. Le lundi 5 juin, jour de Pentecôte, j’avais reçu un message inquiétant sur mon smartphone. Sandrine paniquait à nouveau : "il s’est passé quelques chose pendant son enterrement de vie de garçon. Je le sens. Je ne sais pas quoi, mais il y a quelque chose. Je vais tout annuler, j’en peux plus. Je lui ai laissé un ultimatum jusqu’à vendredi 19h. D’ici là, je ne lui adresse pas ...