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Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (1)
Datte: 30/05/2019, Catégories: Lesbienne
Salut c’est votre folle de lycra C’est fraîchement diplômée que je venais de trouver un travail dans le secteur bancaire en province dans une petite agence sans prétention dans un vieux bâtiment. Il y avait la patronne prénommée Marie plus trois collègues Coralie Muriel et Gilles. Les trois femmes étaient bien belles et sans vouloir être prétentieuse je ne faisais pas tache dans l’équipe. Dans l’agence il y avait un bureau par employé, une petite salle pour décompresser où il y avait même un confortable canapé, qui servait aussi de salle de réunion; plus une salle d’attente pour les clients et des sanitaires. Marie supervisait donc l’équipe et s’occupait des comptes entreprise, Coralie avec les gros comptes, Muriel, Gilles et moi avions les clients lambda. En petite nouvelle et jeune de surcroît, certains clients ne se privaient pas de me faire la cour; certains étaient même bien lourds dans leur façon de m’aborder. Je vais vous avouer qu’à cette époque, il y avait des clients de mon âge qui venaient ouvrir ou gérer leur compte; certains ne me laissaient pas indifférent. Il y avait une bonne ambiance au sein de cette équipe, souvent le midi nous mangions ensemble; chacun amenait un petit quelque chose pour le déjeuner. Gilles était très sympa car il veillait toujours à rester avec nous, même si les discussions n’étaient pour la plupart que des discussions de gonzesses. Très rapidement je me suis sentie très proche de Muriel qui avait le bureau juste à côté du mien. ...
... Muriel, Marie et moi étions de grandes et belles femmes et nous prenions plaisir à mettre nos corps en valeur. De temps à autre Muriel et moi, nous nous voyions en dehors des heures de boulot; nous nous faisions un petit resto, un cinéma et nous allions même à la piscine ensemble. Bien que nous ayons de nombreuses années d’écart, nous nous entendions à merveille. Muriel et Coralie avaient une dizaine d’années de plus que moi; par contre Marie en avait vingt de plus. Avec le temps, j’avais fini par faire plus ample connaissance avec un client qui me plaisait bien; l’avantage c’est qu’il habitait à côté de chez moi. Franck travaillait dans un cabinet d’assurances et nous réussissions à libérer quelques moments de temps libre pour nous voir. Les gestes toujours très tendres venant de la part de Muriel ne me dérangeaient pas, car nous étions entre femmes il n’y avait pas de problème ni aucun sous-entendu. Avec le temps les gestes qui étaient toujours très tendres, commençaient à s’avérer déplacés. L’évolution se représentait par ses mains qui régulièrement maintenant venaient effleurer mes fesses ou me caresser la poitrine discrètement tout cela était toujours fait à l’abri des regards. Bien que n’étant pas du tout coincée cela commençait à relever du harcèlement et cela me dérangeait quand même. À mesure que les journées passaient, les gestes déplacés de Muriel commençaient vraiment à être insistants; elle en allait même aujourd’hui jusqu’à me faire des petites caresses pubiennes à ...