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Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (1)
Datte: 30/05/2019, Catégories: Lesbienne
... je me suis demandé si ce n’était pas un guet-apens. J’ai gardé mon sang-froid mais au fond de moi je commençais un peu à avoir peur, peur pour moi, peur pour mon intégrité, peur pour la suite des événements. Les deux femmes qui étaient quand même très belles se sont relevées et se sont approchées de moi avec leurs chaises. Elles se sont assises de chaque côté de moi et m’ont fait reculer avec ma chaise, je ne savais pas comment réagir. Elles m’ont regardée comme si j’étais devenue leur proie et moi je n’osais les regarder car elles m’impressionnaient maintenant. Il ne leur a pas fallu une minute pour que je me retrouve carrément entre elles deux, elles avaient chacune une main sur mes cuisses et l’autre sur mes seins. J’étais en train de réaliser que si j’avais dû réagir, j’aurais déjà dû le faire et que maintenant ça y est j’étais finie. Les minutes qui suivirent leur permettaient de me soumettre complètement à elles. J’avais envie de crier mais je savais qu’il n’y aurait personne pour m’entendre, j’ai senti des larmes commencer à couler au creux de mes yeux. Elles étaient de plus en plus entreprenantes et je sentais maintenant leurs mains remonter en haut de mes cuisses, le plus gênant c’est que leurs mains qui caressaient mes seins étaient en train de me faire de l’effet. Il ne leur a fallu que quelques instants pour accéder à ma petite culotte en lycra qui séparait mon intimité de leurs doigts curieux, leurs mains étaient complètement passées sous ma jupe. Vu que ...
... manifestement ma tenue les indisposait, elles m’ont fait le mettre debout pour me retirer mon chemisier et ma jupe. L’instant suivant je me retrouvais donc en escarpins, collant fendu, douce culotte et caraco moulant. Quand j’ai commencé à vouloir rouspéter, c’est Marie qui s’est mise à m’embrasser elle m’a tant et si bien saisi la tête; que je ne pouvais qu’accepter et répondre à son baiser. Elle ne perdait pas la face car pendant qu’elle m’embrassait, son autre main était toujours dans mon intimité en compagnie de la main de Muriel. Cette dernière était aussi occupée à m’immobiliser pour que je ne bouge pas au moment où leurs doigts allaient passer de l’autre côté de ma culotte. Ma culotte trempée trahissait mon état, elles se sont moquées de moi en constatant combien j’étais mouillée. Quand leurs doigts accompagnés de leurs mains ont franchi la muraille de ma culotte, je n’ai pas douté une seconde qu’elles allaient avoir les doigts trempés de ma cyprine dans les secondes qui suivaient. Bien que je sois en train de mouiller comme pas deux, je réalisais quand même que j’étais en train de me faire abuser par deux femmes et qui plus est, deux collègues. C’est Marie qui a à nouveau ouvert les hostilités en commençant à introduire ses doigts dans mon vagin, je ne savais plus quoi faire face à l’assaut de ces deux femmes. Je commençais à me tortiller de plaisir et leurs mains étaient sacrément efficaces car j’étais en train de m’approcher de la jouissance au rythme où ça allait, ...