1. Il était un petit navire...


    Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, ff, fhhh, fplusag, vacances, gymnastiqu, bateau, vengeance, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... à souffler « capote… » car je ne me souviens pas l’avoir vu en mettre une. Mais une voix essoufflée répond : — Clean, je suis clean ! qui me rassure à moitié. Mais de toute façon, c’est trop tard, alors autant laisser faire. J’ai juste la pensée que si mon mari me trompe, j’espère qu’au moins, lui prend ses précautions et ne me refilera pas une saleté. Mon amant fatigue dans cette position. Il m’entraîne en équilibre instable vers le lit où nous nous effondrons. Sa queue me transperce un peu plus. J’écarte les cuisses comme une pute pour lui faciliter le chemin. Il attrape mes chevilles et tire mes jambes vers le haut. Il me baise si fort que le bateau doit tanguer. Je jouis encore sous mon infatigable baiseur. Que c’est bon de se laisser guider uniquement pas ses sens sans s’occuper du reste ! Enfin je sens les prémices de la montée de la liqueur de l’homme. Il est comme mon mari – que la peste l’emporte ! – ses va-et-vient ralentissent. C’est surtout son gland qu’il frotte sur mes petites lèvres pour contrôler son éjaculation, et alors que de tout son poids il s’enfonce en moi, la première vague arrive, préparant la seconde, puis la troisième. Les suivantes ne sont que quelques gouttes qui cherchent à sortir de la tige pour gagner l’air libre mais ne découvrent qu’un océan de foutre qui déjà se brasse à mon propre jus. Jens s’effondre à mon côté, manifestement épuisé de son labeur. Je ne peux m’empêcher de tourner mon visage vers le sien et murmurer, autant pour moi que ...
    ... pour lui : — C’était très bien, merci. Un sourire accepte mon compliment. Voilà, c’est fait : j’ai trompé mon mari. Mais je sais qu’en mon for intérieur, si mon cocufiage m’a choqué, je viens de réaliser un rêve que je cachais au plus profond de moi, une pensée malsaine de connaître un autre homme, de retrouver cette sensation de nouveauté que mon mariage a fait disparaître. Sans avoir été une fille facile, avant de connaître mon mari, j’ai moi aussi profité de la vie. Oh, je ne couchais pas avec la même célérité et surtout le goût affiché de Myriam, mais tout de même je ne comptais pas mes amants. On se passait les bons coups entre copines. Jens est juste à mon côté. Sans réfléchir, je pose une main sur son torse en sueur et tresse ses poils avec mes doigts. Le nombril est un renfoncement qui annonce le pubis. Je me soulève pour mieux profiter du corps alangui de mon jeune amant. Le ventre est plat, bronzé, musclé. Le sexe repose nonchalamment, légèrement penché de mon côté, et son extrémité semble regarder dans ma direction. C’est un appel non déguisé. Il me parle : « Viens, prends-moi. Je t’ai donné du plaisir. Et toi, que peux-tu pour moi ? » Je prends cette chose ramollie entre mes lèvres et retrouve les goûts particuliers du sperme et de la mouille… Et il ne faut pas beaucoup de temps pour que la sève afflue et que l’arbre reverdisse. Il pousse si vite et si fort que je suis obligée de reculer sous sa croissance, ne conservant que le gland entre mes lèvres. Jens glisse une ...
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