1. Il était un petit navire...


    Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, ff, fhhh, fplusag, vacances, gymnastiqu, bateau, vengeance, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... mariée n’a pas le droit de se comporter ainsi ! »« Femme mariée… femme fidèle… quelle blague ! Est-ce que ça ne marche que dans un sens ? Ton mari te trompe, tu es cocue. Tu ne vas rien faire ? »« Ne fais rien d’irrémédiable. Ton mari ne te le pardonnerait pas. Lui, c’est juste une aventure, que tu peux lui pardonner. Mais si toi tu te venges de cette façon, alors ton couple va exploser. »« Non, venge-toi ! Ce serait trop facile ! En plus tu en a envie… Depuis des mois cela ne va pas bien entre vous. Regarde ce beau garçon qui a envie de toi ! Tu devrais être fière qu’il te désire. Pourtant sa femme est belle, jeune, bien plus jeune que toi, et pourtant sens comme son désir est là… » J’ai perdu la bataille. Je me réveille de ce dialogue enveloppée par des bras puissants, ma tête sur l’épaule de mon cavalier et nos corps collés pour ne faire qu’un. Alors que, discrètement pour ne pas déranger les autres couples qui dansent sagement, ses mains glissent sur mes hanches et effleurent le haut de mes fesses, je sens parfaitement une raideur s’appuyer sur mon ventre. Il bande. Jens bande. Le simple fait de me sentir tout contre lui a déclenché cette érection. Quel magnifique hommage ! Ainsi moi, son aînée de dix ou quinze ans, déclenche chez lui ce désir alors qu’il a sous la main sa femme, la femme de son ami, et Myriam, des partenaires autrement plus jeunes, belles et sûrement plus expertes. Je savoure cet instant magique et je me frotte contre ce bâton qui m’enchante. Je mouille. ...
    ... Oui, je crois bien que rien que par ce contact pourtant bien filtré par plusieurs épaisseurs de tissu, je coule d’envie. Envie ! Mais oui, j’ai envie ! Au diable les convenances ! Pourquoi moi je n’aurais pas le droit ? J’entraîne mon partenaire par la main. Pas un mot aux autres. Je trouve l’ascenseur qui nous ramène au niveau de ma cabine d’une lenteur de tortue ; et que dire de ces gens qui m’empêchent de sauter sur Jens ! Et à peine la porte de la cabine refermée, nous nous précipitons l’un contre l’autre. Nos dents se choquent sous la violence de notre désir. Nous ne nous contrôlons plus. Je crois que je déchire sa chemise pour pouvoir enfin toucher sa peau et je l’aide à dégrafer mon soutif avant qu’il ne l’arrache avec les dents. La minute suivante, je suis plaquée contre cette porte, les cuisses serrées autour de la taille de mon amant alors que lui, ses mains sous mes fesses, cherche le chemin de ma chatte. Ouiiiiii ! Son dard me transperce. Pour un peu, il pourrait me crucifier sur la porte tellement il est entré en moi avec vigueur. Ses coups doivent résonner dans tout le couloir et les passants, heureusement peu nombreux, pourraient croire au choc d’un iceberg. Je jouis presque aussitôt comme si j’attendais cet instant depuis longtemps. Je m’accroche pour ne pas tomber. Il me bourre avec vigueur. Son sexe que je n’ai même pas eu le temps de voir est un piston grassement lubrifié par ma jouissance. Un éclair de raison traverse mon esprit. Entre deux coups j’arrive ...
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