1. La journée commence bien


    Datte: 31/05/2019, Catégories: h, jeunes, volupté, revede, Masturbation

    Il ne fait plus nuit. Jérémy s’est vraiment couché à la va-vite hier soir et n’a pas fermé correctement les volets roulants. À priori, il fait même plutôt beau, à voir la chaude lumière qui parvient à se frayer un chemin jusque dans la chambre. Les premières journées vraiment ensoleillées et la promesse de l’été proche, représentent décidément la meilleure période de l’année pour un étudiant… s’il veut bien se projeter au-delà de ses examens ! Le week-end dernier, déjà estival, Jérémy a enlevé la couverture de son couchage et l’a rangée au bas du placard, bien heureux de ne pas la voir pendant quelques mois. Encore 12 minutes. La luminosité dans la pièce a réveillé le garçon avant même que le réveil ne s’en charge. Jérémy se dit que la journée commence bien, avec ces 12 minutes de rab, comme volées au temps. Encore ensommeillé, il se retourne dans son lit. Les yeux entrouverts dans la pénombre, il regarde sa chambre. Ses vêtements de la veille sont rangés… en vrac sur le sol. La pièce serait plus grande, on pourrait même suivre son cheminement depuis la porte d’entrée jusqu’à son lit. Les chaussures enlevées en premier, avec les chaussettes. Un polo roulé en boule. Un jean aplati au sol, les jambes brisées. Son petit boxer blanc presque au pied du lit. Ce matin, sous les draps, Jérémy est entièrement nu. Il l’a encore bien senti en se retournant tout à l’heure. En bougeant, son corps, encore chaud de la nuit, a pu apprécier directement la caresse légère du tissu qui le ...
    ... recouvre. Dans son demi-sommeil, le frôlement sur son torse, son ventre, ses jambes, puis ses fesses, en fin de mouvement, était très sensuel. Jérémy bande. L’érection matinale, inconsciente, s’est renforcée très vite. L’évocation du sous-vêtement sur le sol, l’étreinte du drap et la chaleur du lit ont provoqué une excitation nettement plus volontaire. Couché sur le côté, Jérémy sent bien que son sexe durcit encore et s’allonge. Il résiste pour l’instant à l’envie de frotter son gland contre le matelas et passe un bras sous le drap. Sa main passe sur son torse, excite un peu ses tétons, descend sur son ventre musclé, atteint ses hanches, puis ses fesses. Il ne s’attarde qu’un peu sur la raie et choisit une caresse qui l’amène jusqu’à ses bourses. Elles sont dures, elles aussi, quand il les saisit et les fait rouler malgré tout entre ses doigts. Le garçon bascule encore, emprisonnant sa verge entre le matelas et son ventre. Le bras en arrière, coincé entre ses fesses avec, au bout, la main lancée vers les testicules, pourrait rendre la position seulement inconfortable, mais Jérémy imprime enfin à son bassin un mouvement qui simule le coït. La peau de son sexe captif est tirée doucement d’avant en arrière dans un va-et-vient chargé de promesses. Le gland se lubrifie rapidement et mouille le ventre à chaque fois que le prépuce tendu le découvre. Ses bourses sont entraînées vers le haut à chaque aller-retour et Jérémy a quand même du mal à les garder en main. Alors, il se soulève sur ...
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