1. La journée commence bien


    Datte: 31/05/2019, Catégories: h, jeunes, volupté, revede, Masturbation

    ... un bras et ramène l’autre vers son torse, se caresse le cou, les épaules, les pectoraux. Il agace l’extrémité de ses tétons qui sont maintenant tendus d’envie. Il continue de lancer le bassin en avant, la position accentuant encore la pression de son sexe sur le matelas. Il ferme les yeux et imagine les retrouvailles avec son amie qu’il n’a pas vue depuis plus d’une semaine. Elle sera bientôt là, sous lui, dégustant cette pénétration les yeux fermés ou bien le regard profondément ancré au sien. C’est elle, alors, qui lui caressera le corps, qui posera ses mains sur ses fesses et les tirera à elle. En elle. Pourtant le garçon sent le plaisir monter. Seul. Son souffle s’est accéléré, ses deux mains poussent sur le matelas maintenant, les mouvements de son bassin s’enchaînent à toute vitesse. Il va s’abandonner au plaisir. Peut-être crier doucement. Se soulager. Ejaculer sur son lit. Et jouir. Il doit retrouver Annie bientôt. Ce soir. Une soirée chez des amis. Il a envie d’elle. Dans quelques heures. Alors, Jérémy s’allonge sur le dos et repousse le drap à ses pieds. Il y a déjà laissé une trace humide très évocatrice. Nu sur le lit découvert, le garçon regarde son corps. En face de lui, un miroir lui permet de s’observer tel qu’Annie le ferait si elle était là. Il est grand, mince, châtain. Il est peu poilu, à part comme tous les hommes, les jambes et quelques zones clairsemées au-dessus du pubis et des seins. Habituellement, il rase son sexe en partie. Annie aime ça. Elle ...
    ... aime les poils courts au-dessus de la verge et les bourses rasées. Mais Annie n’était pas là ces derniers temps. Il a raison de faire du sport : ses muscles sont secs et bien dessinés. Ses partenaires ont toujours aimé y promener leurs mains, pour le déshabiller, au cours de massages sans fin ou dans la chaleur de l’acte sexuel. Mais ce matin, c’est lui qui se charge d’exciter son corps dans son entier, effleurant sa peau de la pulpe des doigts, à la recherche de la moindre zone érogène. Son sexe est tendu au-dessus de son ventre. Un petit filet de son lubrifiant naturel relie son extrémité aux quelques poils autour du nombril. L’érection ne retombe pas et, même, la verge est animée de petits soubresauts involontaires, comme une respiration endiablée ou un appel au plaisir. Jérémy attrape son membre par la base et le tend vers le plafond, pendant que son autre main se pose à nouveau sur les testicules si sensibles. Un premier va-et-vient découvre entièrement le gland rouge et gonflé : son sexe ressemble à son corps, droit, solide et vigoureux. Dans la glace, il se voit, les jambes écartées ; les testicules semblent énormes et gonflés à la base de son membre. Elles bougent, elles aussi, roulant sous la peau, préparant sans doute la contraction finale de l’orgasme. Satisfait et excité, le garçon recommence sa masturbation… Alors le réveil se déclenche : les douze minutes sont écoulées. Jérémy envisage de se branler rapidement, d’évacuer toute la tension accumulée si vite. Et cela ...