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Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - Diane - et° partie.
Datte: 31/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Les récits qui vont suivre concernent ma relation avec une amie libertine, Diane, une relation qui s’est déroulée sur plusieurs années. Nous sommes toujours en contact mais nous ne faisons plus de frasques sexuelles ensemble. *************************************************************************** Ma chère Diane, Nous avons assez bavardé sur la toile à échanger des coquineries qui personnellement me font bien fantasmer. A l’occasion d’un de mes courts séjours à Paris, nous avons rendez vous pour une rencontre chez toi en vue d’un 5 à 7 coquin. Mais, à ta demande, je t’adresse cette petite lettre où je te confie quelques secrets sur ma vie et surtout dans quelles circonstances j’ai rencontré ma première vraie maitresse. Après quelques aventures d’une soirée ou un peu plus au cours de mon service militaire, je me suis marié à 21 ans avec une copine d’adolescence. Au lycée, j’avais eu quelques flirts mais c’est avec une cousine très éloignée que j’avais perdu mon pucelage lors d’une fête de famille quelques années avant. Durant la période de mariage, j’étais resté sage et fidèle à ma compagne. A 40 ans, veuf depuis près de trois ans, j’élevais seul mes enfants déjà grands avec l’aide d’une femme de ménage qui s’occupait de la maison trois fois par semaine. Comme chaque vendredi soir en sortant du bureau, j’avais fait le détour par le supermarché du secteur pour y faire les achats pour la semaine à venir. J’étais en train de ranger tout ce que j’avais acheté lorsque j’ai ...
... entendu non loin de moi une voix de femme s’exclamer «Ah non ce n’est pas vrai comment je vais faire avec deux pneus à plat?» Je me suis approché pour voir ce que je pouvais faire pour lui venir en aide. Les deux roues du côté gauche de sa voiture n’étaient pas simplement crevées, les pneus étaient lacérés, donc impossibles à réparer avec une simple bombe anti-crevaison. Nous avions deux voitures identiques, la seule option qui était possible était de lui prêter ma roue de secours pour qu’elle puisse regagner son domicile assez proche de la galerie commerciale. Je l’ai aidée à changer ses deux roues et en nous suivant, je l’ai accompagnée jusqu’à chez elle. Elle habitait un joli pavillon édifié sur une petite colline qui dominait un peu ce quartier de la ville. Arrivés chez elle, elle m’offrit un pot. Avant j’avais téléphoné à mes enfants (ce n’était pas encore l’époque du portable). Nous avons bavardé un peu pour faire connaissance. Elle vivait seule la plupart du temps avec sa fille de 16 ans car son mari travaillait sur une plate forme pétrolière au large de l’Ecosse et elle possédait un institut de beauté assez coté en ville. Sandrine m’avait expliqué au cours de la conversation qu’elle était d’origine franco libanaise mais qu’elle vivait en France depuis son adolescence. C’est vrai qu’elle était assez typée. Brune de peau avec des cheveux longs noirs de geai coiffés en chignon, à près de 40 ans, elle avait des formes pleines d’une femme mature. Sous son chemisier un peu ...