Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - Diane - et° partie.
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... échancré, je pouvais voir la naissance des deux seins opulents et elle avait des hanches assez larges. Vers 20 heures, nous nous sommes séparés. Elle ferait réparer ses roues le lendemain et je pourrais venir récupérer la mienne dès le lundi soir. Le lundi soir, j’ai été retardé par un rendez vous qui s’est prolongé aussi, j’ai appelé Sandrine pour lui dire que je ne pourrais passer qu’après 21 heures au plus tôt. Prévenus eux aussi, mes enfants savaient se débrouiller seuls. Finalement il était plus près de 21 heures 30 quand je suis arrivé chez elle. J’ai rapidement mis en place ma roue de secours et une nouvelle fois nous avons bavardé de tout et de rien, de son pays natal, de voyages, des enfants et de leurs problèmes. Sa fille Natacha avait le même âge que ma fille Aline et elles fréquentaient le même lycée mais ne semblaient pas se connaitre, mes deux garçons étaient un peu plus jeunes. Sandrine trouvait les soirées longues car actuellement sa fille passait la nuit du lundi au mardi chez une copine pour travailler à un devoir de groupe. Assise dans un fauteuil en face de moi Sandrine avait tantôt une pose alanguie où je voyais ses cuisses entrouvertes jusqu’en haut des bas, tantôt elle se penchait vers moi et là, c’est sa poitrine qui s’offrait à mes regards. Tout cela ne me laissait pas insensible, c’était une femme désirable, en manque de sexe comme moi, sevré depuis le décès de ma compagne. J’avais envie d’elle et elle le savait… m’allumant discrètement. Je me ...
... suis dirigé vers elle et je l’ai fait se lever pour la prendre dans mes bras. Mes lèvres se sont posées sur les siennes pour un doux baiser qui s’est rapidement enflammé. Son bassin collé contre le mien, Sandrine s’est mise à onduler comme une danseuse arabe, tournoyant des hanches. Je n’en pouvais plus. En quelques minutes de ce manège, ma bite était dressée comme un I dans mon slip. Ses mains sont descendues jusqu’à ma taille, ont dégrafé le pantalon et sorti ma queue. Basculant en arrière sur le divan, Sandrine m’a entrainé sur elle en ouvrant largement ses cuisses et remontant sa jupe sous ses fesses. D’une main, je tirai son string sur le côté et d’une violente poussée, je m’introduisis dans sa chatte trempée de mouille. Au début, je la besognais rapidement mais j’ai ralenti le mouvement, je ne voulais pas partir trop vite et je voulais aussi profiter le plus possible de cette étreinte qui serait peut-être sans lendemain. Un peu plus de trois ans sans baiser, je devais faire attention à ce que mon plaisir n’arrive pas trop vite pour que Sandrine ait le temps de venir elle aussi à la jouissance. Nous n’avions pas eu le temps d’ôter un quelconque vêtement tellement nous étions pressés de baiser. Au bout de quelques temps, Sandrine a commencé à jouir. Cela a été le signal. J’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond de sa chatte. L’un et l’autre nous étions un peu essoufflés tellement la joute avait été violente. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, puis ...