Hélène
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fbi,
hbi,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
hgode,
uro,
couple+h,
... en moins pipelette), et si je l’écoutais, je crois qu’on irait directement dans une animalerie acheter un rat. oooOooo Hélène ne parle pas de cul hors d’un contexte cul. À l’opposé, dès qu’elle baise, Hélène use délicieusement d’insanités, de mots cochons. Elle est aussi exhibitionniste dans l’intimité que discrète en société. Notre première baise fut, disons, classique, plutôt silencieuse, quelques préliminaires agréables et polis, une pénétration courtoise, une éjaculation urbaine dans son sexe, des soupirs étouffés. Je l’y ai sentie à côté du sujet en même temps qu’impliquée. Impliquée car il me semblait évident qu’elle ne boudait pas son plaisir et à côté du sujet car j’ai bien perçu qu’elle rongeait son frein, qu’il lui manquait quelque chose. J’ai gardé mes réflexions pour moi, je ne suis pas forcément du genre à décrypter par le menu avec ma partenaire ce qui vient de se passer au plumard. oooOooo Hélène présente un étrange paradoxe : bien que de nature calme, elle s’ennuie vite. Il lui faut régulièrement apporter du piquant, de l’inédit, aux différentes facettes de sa vie. Ce qui vaut pour sa vie sexuelle. Et par ricochet, maintenant pour la mienne, puisqu’elle semble décidée à m’y laisser la place principale. Il faut dire que cela se passe bien entre nous dans le domaine, et que je suis ouvert à la suivre sur les terrains qu’elle a déjà défrichés et où elle se propose de m’emmener. En fait je me suis attaché à elle, j’ai bien saisi qu’elle aussi tient à moi, en ...
... même temps que j’ai capté que je la perdrais si je m’arcboutais à vouloir conserver une vie sexuelle « classique ». Figurez-vous que je ne m’arcboute pas du tout. Nous avons gardé nos appartements respectifs, mais depuis six mois maintenant nous avons passé une bonne partie de nos soirées et nuits ensembles. Des parties de baises ludiques viennent généralement conclure une petite tambouille chez l’un ou chez l’autre, une sortie ciné ou une soirée au théâtre, un resto avec des amis ou une bête soirée télé. Elle adore me faire bander dans mon boxer histoire de s’extasier de la bosse mouvante qui se forme, puis qu’elle soupèse, la main en conque sous mes couilles, sa bouche posant de délicats baisers sur le tissu avant que les dents taquines ne me mordillent à travers celui-ci. Elle me suce longtemps et divinement. Elle crache sur ma pine, titille mon méat du bout de la langue. Elle veut mon sperme dans sa bouche (« J’ai bu la tasse », m’a t’elle dit la première fois en riant et toussotant, en raison du goût très salé de celui-ci), puis adore ensuite me rouler un patin plein de foutre. Elle s’exhibe, sur le dos les jambes derrière les oreilles, ou bien nue debout au-dessus de moi, ou encore à quatre pattes le cul ouvert. À ma demande, et sans qu’il soit besoin d’insister, elle se doigte devant moi, écarte ses lèvres roses humides. — Branle-toi pour moi, gicle sur ma chatte, répond-elle alors que je m’astique le chibre. Il faut que je la « fourre bien », elle martèle que je dois ...