Hélène - Histoires de Sexe

Hélène

... continuer, « Je sens tes couilles battre contre ma chatte ». Elle m’offre son trou du cul à lécher, elle me rend la pareille, elle lèche les restes de sperme sur sa lèvre supérieure, se colle dans la bouche avec des yeux vicieux celui qu’elle récupère dans ses cheveux. Elle me suce à quatre pattes, les cuisses écartées, la tache de sa chatte sombre se reflétant sur le miroir de l’armoire. — Oui, mets moi un doigt dans le cul, c’est ça, oui, c’est délicieux, doucement, ouvre mon petit trou. Elle a un délicieux sens de la conversation et parfois une maîtrise de la synthèse irréprochable : — Baise moi fort, j’aime tes coups de pine, viens dans ma bouche, défonce-moi. Elle-même m’ouvre le cul avec l’un de ses godes, après avoir fait largement usage de sa salive, de sa langue et de ses doigts. Évidemment, je me laisse aller à quelques ronronnements qu’elle ne manque pas de relever. — Tu ne serais pas un peu pédé, à geindre comme ça avec cette bite en plastique dans ton cul ? Tu aimes que je t’encule, hein, et tu sais quoi ? J’aimerais avoir une vraie queue à t’enfiler, tu adorerais. Ainsi se passent nos nuits, et nous nous endormons dans des draps souvent poisseux, et dans des pièces qui sentent le cul. oooOooo Hier en fin d’après-midi, je suis allé la chercher à la sortie de son travail et nous sommes promenés dans un joli parc. Fort de connaissances acquises d’un père botaniste, je me la suis gentiment pétée en lui expliquant les différences entre un jardin à l’anglaise et un ...

... jardin à la française. Je lui citais quelques noms d’arbres ou d’arbustes et quand je m’en souvenais, leur équivalent latin. J’inventais quand ma mémoire me trahissait. Plus tard, assis sur un banc, serrés l’un contre l’autre pour nous préserver de la fraîcheur de la nuit qui tombait, elle m’a chanté d’une voix frêle toutes les comptines de son enfance dont elle se rappelait, donc beaucoup. J’ai juste pu la suivre un peu sur « Dans la forêt un grand cerf, regardait par la fenêtre … ». Pour le reste, j’avais l’air con, je les avais toutes oubliées. oooOooo Je sais qu’elle en veut plus, déjà. Elle m’a dit avoir eu dans le passé des amours bisexuelles, et a reconnu, face à mes questions, « d’autres expériences », mais sans vouloir à ce stade m’en dire plus. Je suis averti que lorsqu’elle me dit entre deux ahanements « La vache, j’aimerais avoir une autre bite à sucer pendant que tu me prends », ce n’est pas une simple extrapolation. Et lorsque, nous promenant dans la rue, elle me chuchote en rougissant être émue par cette jolie poitrine ou ce beau cul de femme, la précarité de mon exclusivité ne m’échappe pas. Cela, il faut bien le dire, ne me pose pas de problème. Car je comprends qu’il n’est pas question pour elle de m’exclure de ses fantasmes, mais qu’elle m’y associe et m’y confie même le rôle principal. Intrigué, je laisse venir. oooOooo Hier soir, nous avons pris notre douche ensemble, comme cela nous arrive parfois. Debout sous la pomme de douche, nous faisions couler ...