1. Hélène


    Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, fhh, fbi, hbi, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, fdanus, fsodo, hgode, uro, couple+h,

    ... l’eau, et je la tenais serrée contre moi, ses seins moelleux sur ma poitrine. Nous sommes restés longtemps ainsi, tendrement réunis, en silence, jusqu’à ce que je commence à me dandiner sérieusement. « J’aurai mieux fait d’aller pisser avant d’entrer sous la douche » … me suis-je reproché. Lorsque je lui ai dit pourquoi il fallait que j’interrompe ce doux moment, elle a souri timidement en s’enflammant jusqu’aux oreilles, a coupé l’eau et toujours blottie contre moi, elle m’a dit : — Pisse ici. Je me suis soulagé, et la chaleur liquide s’est répandue entre nos deux bassins, elle m’a serré plus fort. L’urine s’est écoulée longuement entre nos deux peaux, le long de nos jambes, avant de former une flaque à nos pieds, qu’elle a abondée en pissant à son tour oooOooo Le mec nu sur le lit est plutôt beau gosse. Sa queue bande mollement, comme la mienne à cet instant. Elle est bien faite, pas trop grosse. Marc et moi sommes à genoux, face à face, Hélène, adossée à la tête de lit, seulement vêtue de sa culotte, regarde nos sexes avec un regard bizarrement plus absent qu’autre chose. Elle semble perdue dans sa contemplation, avec pourtant un vague sourire aux lèvres. Marc tend une main vers son sein, le soupèse, titille le mamelon, le pince. Il ne fallait pas que ce soit une connaissance. Au contraire, un type de passage, un rencontre sur le Net. Cela, déjà, c’était clair pour nous deux. C’est un choix commun, et nous étions d’accord sur le fait que, même si c’était pour elle - je ...
    ... n’ai pas bien réfléchi alors à la notion de « pour elle » - il fallait que l’autre homme me plaise. J’entendais par là que je le trouve agréable physiquement, et pas con même s’il n’était pas là pour disserter sur les philosophes du siècle des Lumières. Il était plaisant sur les photos qu’il nous avait fait passer par messagerie, il écrivait sans faire de fautes, et maintenant que nous l’avions en face de nous dans ce bar, il ne manquait ni de conversation ni d’un sens de humour plutôt fin, le tout légèrement voilé par la gêne inhérente à cette situation : dans quelques minutes, peut être baiserons-nous tous deux Hélène. Nous verrons la bite de Marc, ses couilles. Il verra la mienne, le corps d’Hélène, sa chatte. Elle le sucera, lui tétera le gland, gobera ses testicules, écartera les jambes devant lui, se mettra à quatre pattes, lui montrera son joli cul et dévoilera son anus, nous lui doigterons la chatte et le cul, nous la prendrons par deux orifices, permuterons, varierons, je passerai derrière lui dans sa chatte déjà écartée, ou lui après moi dans sa bouche avide, peut être l’enculerons-nous, lui malaxant les seins, lui foutant nos bites raides sur le visage, promenant nos paires de couilles lourdes sur sa jolie petite gueule, nous branlant dans sa bouche, la mouillant de nos sueurs, giclant notre foutre poisseux sur elle. De tout cela il ne fut pas question dans ce bar. À la place, une banale conversation, vie, loisirs, travail. Mais un peu plus tard, tout cela fut fait. ...
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