1. Mon weekend chez Monica (1)


    Datte: 02/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... corset démoniaque, cela me semblait conduire à la catastrophe. Comment allais-je éviter de vomir ? Devant mon hésitation trop manifeste, Ghyslain parut perdre patience : « Qu’est-ce que t’attends, salope ? À genoux ! » Je reculai un pas, en balbutiant un faible « S’il vous plait Monsieur ! » Derrière moi, Raoul leva ma jupe. J’entendis un très bref sifflement, comme une tige souple qui fend l’air, et je ressentis un terrible déchirement de part et d’autres de mes fesses. Je venais de recevoir un premier coup de cravache sur le fessier, et le noir avait de nouveau le bras levé, prêt à m’administrer une seconde correction. En une fraction de seconde, j’étais à genoux, bouche grande ouverte. « L’as-tu entendue me dire merci, Ghyslain ? » — « Non ! J’ai rien entendu, moi… » — « Merci, maître ! » m’empressai-je de balbutier, avant que le géant noir me frappe à nouveau. — « Aaahh ! Voilà qui est mieux. Mais à l’avenir, ma fille, faudra pas qu’on ait à te le demander. Sinon, c’est deux coups de plus ! » — « Oui maître. » — « Maintenant, donnes ta bouche à mon ami Ghyslain. Il a un peu de champagne pour toi. J’ouvris grand la bouche, et Ghyslain y introduisit son vit bandé. Plus par réflexe que consciemment, je refermai mes lèvres et commençai à caresser la hampe de son organe qui semblait pulser de plaisir sous les mouvements de ma langue. Alors, le jet d’urine me prit par surprise. Un liquide chaud, salé, au goût acide prononcé, vint, avec une forte pression, s’engouffrer au fond ...
    ... de mon palais. Je faillis étouffer et Ghyslain, attentif tout de même aux difficultés de son esclave, interrompit aussitôt le torrent. Je repris péniblement mon souffle. Ghyslain libéra à nouveau ses sphincters. Un jet plus doux cette fois, qui me permit de tout avaler au fur et à mesure. En fait, comme le fluide passait directement de l’organe de l’obèse à ma gorge ouverte, je n’en sentais pas l’odeur, et le goûtais à peine, de telle sorte que le supplice me parut plus supportable que l’avant-veille, lorsque j’avais dû boire au verre le champagne de ma maîtresse. J’y trouvai même quelque excitation perverse, de me trouver ainsi rabaissé au rang d’une simple pissotière pour cet homme sans charme, pendant que l’autre, ce noir au corps magnifique, s’amusait à jouer en douceur de sa main de géant sur mes fesses encore chaudes. N’être qu’un objet de plaisir. Appartenir à l’autre. Totalement, sans volonté propre, sans réserve aucune. Être utilisé à son gré, même pour les choses les plus abjectes, et y prendre plaisir ! Obéir et oublier le reste. Un malaise me tira rapidement de cette douce rêverie. Le jet d’urine continuait à couler contre mon palais, et j’avais de plus en plus de peine à en suivre le rythme. Entre les gorgées, je n’arrivais plus à reprendre mon souffle. Combien de temps sa vessie allait-elle ainsi se vider ? Et puis il y avait mon corset trop serré, qui comprimait mon estomac et rendait difficile mes efforts pour avaler. Je commençai à perdre le souffle et ne pus ...
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