1. Mon weekend chez Monica (1)


    Datte: 02/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sauvée, pourtant ! C’est tout ce qui comptait pour moi. Le sexe de Raoul, encore gros mais déjà moins rigide se retira de la gorge, et je goûtai sur ma langue les derniers écoulements de son sperme. Je sentis alors, mais cela m’avait totalement échappé jusque là, que l’autre pénis s’agitait dans mon cul. Il m’avait sans doute pénétré au pire moment de ma détresse et, tout absorbé par ma mort que je croyais imminente, par cette totale incapacité de respirer, je n’avais rien senti. J’avais les larmes aux yeux. J’avais atrocement mal à la gorge. Mais j’essayai tout de même de me concentrer sur le vit de chair qui labourait mes parois intestinales, qui massait ma prostate, qui échauffait par son va-et-vient constant la rosette de muqueuse, si délicieusement excitable, de ma petite chatte culière. Alors, je me sentis soudain la plus heureuse des femmes. Une douce sensation de plénitude. J’étais vivante alors que j’avais senti la mort de si près. J’étais possédée, excitée, comblée, caressée, entièrement prise. Je sentais vibrer toutes mes parois intérieures, parcourues par un étrange courant électrique. Comment expliquer un changement aussi brusque ? Simplement que cette porte arrière que Ghyslain venait de forcer une fois de plus, cet orifice culier encore vierge deux jours plus tôt, c’était, j’en prenais conscience désormais, la zone la plus excitable de mon corps. En ce moment même, un tel courant de jouissance me parcourait l’épiderme, que j’en perdais toute mémoire de la ...
    ... violence atroce qu’on m’avait fait subir. Je sentis, sous la couche de latex de mes prothèses mammaires, mes mamelons se durcir. Je regrettai de n’avoir que de petits seins d’homme, de taille dérisoire. Quelle jouissance ça serait de pouvoir sentir sur des seins plantureux la caresse virile d’un amant à qui je pourrais m’abandonner corps et âme, tous orifices ouverts, afin qu’il me prenne de partout à la fois ! Oui ! Un jour j’allais demander à Monica de me fournir des hormones, pour avoir un vrai corps de femme, de vrais seins. Pour me sentir encore plus femme. Pour me sentir encore plus excitable. Et plus soumise encore aux clients qui paieraient pour abuser de mon corps. Mon pénis, toujours enfermé dans son tube de métal, incapable de prendre de l’expansion, donc, se mit alors à vibrer en saccades, au rythme du glissement du pénis agresseur dans mon couloir anal. J’étais si excitée que j’aurais voulu que ça dure. Tout le temps. Que ça ne s’arrête jamais ! Mais en même temps, plus l’excitation montait, plus mon pénis bandait, et plus la meurtrissure des chairs comprimées dans leur étau de métal devenait insupportable. flqfxxry Pour pouvoir me sodomiser, Ghyslain avait dû détacher la courroie qui tenait la cage de fer repliée vers l’arrière. Le petit tube de métal ballottait donc librement, comme un pendentif accroché à mon sexe de femme. Je savais que la douleur, à l’intérieur de ce vestige dérisoire de mon statut de mâle, allait augmenter encore, jusqu’à prendre possession de ...
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