Une photo de vacances
Datte: 02/06/2019,
... va-et-vient, il pousse de petits cris plaintifs, il n’ose pas me le dire mais il sait qu’il va jouir. Je sens bientôt un long jet chaud couler au fond de ma gorge. Je continue de le lécher, j’ai tout avalé. — Je suis désolé, je ne voulais pas jouir avant de t’avoir prise.— Mais on a encore un peu de temps, dis-je. C’est alors que l’on entend un grand bruit dans le couloir. Comme deux gamins, nous nous collons dans un coin de la classe afin de ne pas être vus par la petite lucarne située prés de la porte d’entrée. On entend tousser, c’est le gardien, il n’y a que lui pour cracher ses poumons comme ça. Et dire qu’il continue de fumer. Les pas s’éloignent, une porte claque, il a dû s’éloigner. Nous restons encore quelques minutes blottis l’un contre l’autre afin d’être certains que notre visiteur ne reviendrait pas. Baptiste se risque jusqu’à la fenêtre et le voit traverser la cour. La voie est libre dit-il en venant me rejoindre. — On regarde notre œuvre ? propose-t-il. Certes l’écran du caméscope ne permet pas vraiment de se rendre compte, mais ça a l’air de bien passer. Lorsque sur l’écran on me voit le prendre en bouche, il me précise que cela ne fait pas partie du film. Je sens sa main se faire plus entreprenante. Un rapide coup d’œil me permet de constater qu’il reprend vigueur. Ma main vient à son secours et quelques minutes plus tard, voilà notre gaillard en pleine possession de ses moyens. — Viens, me dit-il en m’entraînant vers le bureau. Il m’allonge délicatement et ...
... sa bouche vient à la rencontre de ma toison humide. Sa langue se fraye un passage pendant que ses mains caressent mes seins. Je souris en pensant que ce petit jeunot, comme nous l’appelions avec Estelle pendant les vacances, n’est pas maladroit du tout et semble même avoir acquis une certaine expérience. N’y tenant plus c’est moi qui lui demande de me donner sa bite. Il s’exécute volontiers et me pénètre immédiatement sans le moindre effort. Son membre est bien raide et ma chatte est trempée. Il commence un lent va-et-vient qui s’accélère puis qui devient violent. Au risque d’être entendue, je hurle de plaisir, je suis en train de jouir comme je ne l’avais pas fait depuis longtemps. Encouragé par son succès, il me fait descendre du bureau et me fait m’appuyer contre le bureau. Il passe derrière moi, un instant je crains qu’il tente de me sodomiser car c’est une chose que j’ai toujours refusé à mes précédents partenaires et je ne suis pas prête à céder aujourd’hui. Mais non, il se contente de me pénétrer en levrette. Je sens sa queue au plus profond de moi, de nouveau je sens une chaleur m’envahir, une nouvelle jouissance. Je sens mon partenaire se retirer de moi et un liquide chaud couler sur mon dos. Je me retourne et nous échangeons un long baiser. — Tu m’as fait jouir comme une reine ! lui dis-je.— Pour moi aussi c’était bon… on recommencera…— Tu as de la suite dans les idées toi…oui je pense mais dans un endroit plus discret— Je ne suis pas sur que nous y trouverons autant ...