L'enfilée du défilé du 14 juillet
Datte: 04/06/2019,
Catégories:
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
préservati,
pénétratio,
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... vous avez l’impression de vous masturber… Mais la surprise disparaît très rapidement et laisse le plaisir remonter aussi vite, l’excitation revenir à son acmé, et me voilà déjà en train de sentir les premiers signes avant-coureurs de ma jouissance. Et mes coups de reins se font plus profonds, plus rapides. Mes mains enveloppent le pénis que je touche et masturbent de plus en plus vite, comme si je voulais « me donner du plaisir ». Les griffes de Maria-Carmen accentuent leurs crissements, montent et descendent le long de la portière, son souffle est court, sa jouissance extrême. Et quand j’explose entre ses fesses, ce sont de longs jets de plaisirs qui se répandent, au point que je crois avoir percé la protection. Et mes doigts continuent encore à jouer avec le pénis de Maria-Carmen pendant quelques longues secondes. Par petits spasmes, ses fesses m’expulsent et elle se retourne vers moi, me demandant avec un sourire presque angélique si cela ne m’a pas dérangé… Pour toute réponse, je lui souris et approche ma bouche de la sienne pour échanger un long et fougueux baiser. Malheureusement, déjà dans le lointain, on entend les premières notes des musiques martiales qui nous obligent à nous rajuster pour rejoindre dare-dare la tribune. Cela fait mauvais genre d’arriver en retard. Chemin faisant, alors que nous abordons la zone des tables de buffet, trois hommes en costume gris, lunettes noires, oreillettes suspendues au revers du veston, s’approchent à grand pas de notre drôle de ...
... couple. Ils entourent immédiatement Maria-Carmen, la cernent, semblent lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Je n’ai pas le temps de lui demander quoique se soit, qu’ils la pressent et l’encadrent de très près et s’éloignent dans la direction opposée à la tribune… Me laissant là, les bras ballants, dans l’impossibilité de lui venir en aide. Après tout, peut-être est-ce de ma faute si tout à coup, elle a des ennuis. Et un long frisson d’anxiété me traverse l’échine. Heureusement, arrive face à moi, mon ami qui m’a si sympathiquement attribué une place dans la tribune pour admirer défiler l’Armée française et les détachements brésiliens. Je me précipite sur lui : — Salut ! Dis-moi, tu connais cette jeune femme ?— Ouais… un peu trop… et il n’y a que toi pour aller te fourrer dans pareil guêpier !— Explique ! En quelques mots, il me dresse un tableau de la situation qui me flanque la chair de poule… Bien sûr, à Paris, tout le monde sait que Maria-Carmen est un travesti, officiellement accrédité comme épouse d’un attaché d’ambassade, mais en réalité, chargé de récupérer du matériel hautement technologique sensible pour le compte de son gouvernement… bref un Mata Hari, nouveau genre. Et comme par hasard, ce matin, pendant que nous avions cette chaude tocade, elle en profitait pour accumuler sous ses ongles des particules d’une toute nouvelle peinture, spéciale anti-radar, anti-radiation qu’elle espérait pouvoir remettre à son gouvernement et lui aurait fait économiser plusieurs ...