1. Escale technique


    Datte: 05/06/2019, Catégories: fhh, hplusag, hotel, avion, 69, pénétratio, ecriv_f,

    ... très fort. Je dus faire attention de ne pas être trop bruyante, je ne voulais surtout pas réveiller Ruben ! — C´était bon, me fit Patrick… tu es si belle, j’ai envie de toi ! Pendant toutes ses caresses j’avais senti son sexe, emprisonné dans son slip, battre contre mes cuisses. Il enleva lui-même son dernier vêtement, et je pus voir dans la pénombre un gros sexe enflé, dur, presque à la verticale. Jusqu’alors, mon seul partenaire sexuel avait été mon mari, et j’étais à la fois impressionnée et un peu peureuse à la vue de ce gros gland et des gros testicules. Je devais être devenue folle, je pris son sexe dans la main et entrepris de le masturber très fortement. Je tirais sa peau frénétiquement jusqu’au dessus de son gland pour la rabattre sur le bas. Après quelques secondes de ce traitement, il me repoussa sur le dos et s’allongea sur moi. Il voulait maintenant me pénétrer. Jamais un autre pénis que celui de mon mari n’était entré en moi. J’étais surexcitée. Il dirigea avec précaution son gland vers l’entrée de mon vagin et s’enfonça d’un trait jusqu’à la base. J’étais à ce moment contente d’être si mouillée car son sexe était quand même plus gros que celui que je connaissais jusqu’à maintenant. J’avais presque l’impression de revivre ma première expérience sexuelle. Je fermais les yeux et le laissais me prendre, lui s’activait et devenait de plus en plus bruyant. J’avais déjà eu un orgasme et j’avais envie de rester passive, c’est pour cela que je ne m’activais plus ...
    ... tellement. Je sentais approcher un deuxième orgasme. Patrick haletait maintenant et me demandait à l’oreille de gémir et de ne plus cacher mon plaisir. J’avais la preuve que je pouvais donner une entière satisfaction sexuelle à un autre homme. C’est à ce moment précis que la lumière de chevet du grand lit s’est allumée. Ruben s’était réveillé et nous contemplait en train de faire l’amour. Je repoussai Patrick (qui resta quand même bien enfoncé en moi) et commençai à balbutier quelques excuses du style : "Ruben c’est pas ce que tu penses !". Je cherchais des yeux une couverture ou un drap mais n’avais rien à portée de la main. Ruben me regarda et je sentis son regard posé sur mes seins. J’étais mal à l’aise dans cette situation. "Que se passera-t-il maintenant ? Quelle honte ! Peut-être fera-t-il une déclaration à la compagnie aérienne ? Informera-t-il mon mari ?" En slip, Ruben se leva et s’approcha de moi : — Continue, Patrick, notre petite Claire en a vraiment besoin… J’avais honte, j’étais rouge et plus du tout concentrée sur mon plaisir. Patrick était loin de jouir, je le savais. Ruben s’agenouilla à côté de ma tête et me caressa les cheveux, mon Dieu ! j’avais envie des deux hommes maintenant. Il rabaissa son slip et me laissa voir sa queue. Elle ressemblait plus à celle de mon mari. Ruben était circoncis, ce qui m’étonna pour un Flamand. Mais ce qui m’étonnait encore plus, c’était de voir que tout son poil pubien était gris. Je n’avais jamais pensé que les poils du sexe aussi ...
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