1. Escale technique


    Datte: 05/06/2019, Catégories: fhh, hplusag, hotel, avion, 69, pénétratio, ecriv_f,

    ... jupe bleue et restais en soutien-gorge blanc avec mes fins bas noirs sur ma culotte, blanche elle aussi. Puis je me disais que si les deux gars dans la pièce voisine éteignaient la lumière, je pourrais même enlever mes bas. Très courtois, ils éteignirent aussitôt, et je me glissais bien à l’aise dans les draps du petit matelas. Je m’endormis tout de suite. Mes rêves étaient très mouvementés. J’étais bien endormie mais je rêvais de mon mari, j’avais comme une envie subite. J’avais l’impression qu’il me caressait les seins, comme s’il jouait avec mes bourgeons et les mordillait. J’étais vraiment chaude, et dans mon sommeil j’écartais les cuisses pour le sentir… C´est alors que j’ouvris les yeux… c’était incroyable… ça devait être un rêve… quelle audace ! Patrick était là, allongé contre mon flanc gauche, une main sur mon bas-ventre, le caressant comme mon père le faisait quand j’étais gamine et que j’avais des maux de ventre. Il remontait ensuite et me caressait la poitrine sans ôter mon soutien-gorge. J’étais tout à fait surprise, et je m’apprêtais à lui faire la scène de sa vie, quand il remonta sa main, m’appliqua son index sur la bouche et me murmura à l’oreille : — Tu vas réveiller Ruben… J’étais déja perdue, je crois. Il avait dû s’appliquer à me caresser depuis longtemps pendant mon sommeil. J’étais très chaude, je sentais à travers ma culotte mon sexe enflé et très mouillé. Je ne disais rien, tout à coup Patrick n’était plus Patrick. Patrick était devenu une ...
    ... possibilité inattendue pour moi d’assouvir une grande envie sexuelle. A cause de mes voyages fréquents et de nos deux gosses, mon mari et moi ne couchions plus très souvent ensemble. Et puis c’était toujours le même schéma. Ici, à Casablanca, ce n’était pas la même chose. J’étais si loin de Bruxelles et n’avais encore jamais de ma vie été réveillée par des caresses interdites. Je fermais les yeux, Patrick rabaissa la bretelle de mon soutien-gorge et s’appliqua à lécher et sucer l’aréole et le téton de mon sein gauche. Sa main était toujours posée sur mon bas-ventre et comme je commençais à m’agiter, il la descendit et la déposa sur mon slip. Là, de deux de ses doigts posés sur le tissu, il me caressa les grandes lèvres. J’étais aux anges et je haletais déjà. Il descendit alors sa tête et la fourra entre mes cuisses. J’avais perdu tout contrôle de moi-même. Je voulais faire l’amour et me donner. Avec une main posée de chaque côté de mes cuisses il enleva ma petite culotte, la jeta au loin, et continua avec ses doigts à me caresser les lèvres intimes. Puis il colla sa bouche à mon sexe avide de plaisir et lécha mon clitoris, d’abord tout doucement, puis de plus en plus fort. Il s’aida de son pouce gauche pour soulever la petite peau qui cachait mon clitoris enflé. C’était… l’extase ! Il suçait le clitoris et descendait parfois pour introduire sa langue dans mon vagin. J’eus un violent orgasme. Des spasmes qui, comme des vagues, déferlaient de mon sexe vers mon ventre. Mon coeur battait ...
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