1. Folies en rut majeur (2)


    Datte: 06/06/2019, Catégories: Erotique,

    ... cramponnait de telle manière qu’en se retournant, il l’entraînait avec lui. Elle se retrouvait les jambes en l’air sur le ventre de l’homme. Ce dernier avait gardé sa bite plantée au plus profond de sa chatte. Elle posa ses pieds de chaque côté de ses flancs et c’est elle qui maintenant se pistonnait seule. L’autre se remettait sur ses pattes aussi et approchait de nouveau sa pine de labouche grande ouverte. Elle aspirait et gesticulait sans trop savoir où elle en était. C’était le rital qui soudain ressortait sa queue de sa chatte pour d’une simple pression mettre le gland sur son petit trou. Alors qu’elle se laissait descendre, elle s’empalait directement sur ce pieu raide. Quand elle comprenait qu’elle était enculée, il était trop tard. L’homme lui tenait ferment les hanches et s’introduisait lentement dans l’étroit canal. Son complice lui, admirait maintenant la facilité avec laquelle son derrière avalait le vit de son ami. Il attendait quelques minutes que Luigi soit bien en place. Il relevait les jambes de la brune en la maintenant par les talons. Alors qu’elle ne s’y attendait absolument pas, il s’installa tranquillement entre ce pont que formaient les belles gambettes relevées. S’introduire dans sa fente gluante devenait alors un jeu d’enfant. Et le souffle coupé net par cette deuxième prise de ...
    ... possession de son corps, elle ressentit presque immédiatement des spasmes, des convulsions qui la secouèrent de la tête aux pieds. Jamais au grand jamais elle n’avait joui aussi violemment. Son ventre réclamait plus encore et il se fichait bien de ce que pouvait penser son cerveau. Elle criait, gémissait. Ses yeux roulaient dans leurs orbites et elle ne pouvait plus vraiment bouger. La femme-sandwich aimait cette nouvelle forme de sexualité, bien loin du train-train quotidien de son Gaby. Ils lui firent l’amour longtemps. Changeant de place, la bousculant dans ses habitudes, ils se servirent de tous ses orifices sans pour autant qu’elle n’en éprouve le moindre remord. Quand l’un montrait de signes de fatigue, elle s’empressait de le prendre en bouche, tentait de redonner une vigueur appréciable à son sexe. Elle devenait folle, excitée au possible. Sa seule préoccupation, était de sentir en elle, n’importe où en elle-même, une queue bien raide. Elle aurait fait tout ce qui était en son pouvoir pour qu’ils bandent le plus longtemps possible. Mais toutes les bonnes choses avaient une fin. Ses deux amants finirent par abandonner le terrain de jeu de sa chair pourtant offerte. Ils abdiquèrent sans gloire par une flaccidité de leurs quéquettes, qui définitivement ramollies ne pouvaient plus l’honorer. — oooOOooo — A suivre… 
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