Folies en rut majeur (2)
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
Erotique,
Cette avalanche de phrases, ces mots crus, elle ne voulait toujours pas croire que c’était à elle qu’ils étaient destinés. Elle ne savait plus si elle devait filer rapidement ou si… elle allait obéir. — Bon sang ! Ne te refuse pas un peu de plaisir. Prends ce que je veux te donner ! Essaye au moins ! Que risques-tu ? De prendre un peu de plaisir, de jouir comme jamais ? Je suis certain que tu es une bonnepetite salope ! Allons ! Retire-moi cette jupe et ce caraco qui cachent des trésors que je veux goûter. —… ! — Allez enlève tout ou pars… vite ! Aline hésitait, puisqu’elle avait encore le choix. Puis sa main vint à la rencontre de la ceinture de sa jupe, elle savait qu’elle perdait la bataille, que cette guerre allait se terminer, par une folie. Quand ses cotillons entourèrent ses chevilles, elle avait le ventre qui se tordait sous des spasmes incroyables ! L’autre ne l’avait même pas touché. Les doigts vacillants déboutonnèrent le haut et elle se retrouva nue, à l’exception de son soutien-gorge. Il était de même couleur que la culotte que ce Luigi humait encore. — Tu es une bonne fille ! Donne-moi aussi ce vilain soutif qui me masque un vrai paradis. Elle ne saurait jamais comment ses mains trouvèrent la force de dégrafer les deux bonnets. Elle se trouvait entièrement à poils au beau milieu du salon d’un parfait inconnu. Il la fit tourner sur elle-même en lui tenant par la main. Une musique jaillit de nulle part alors que de sa patte libre, il appuyait sur une ...
... télécommande. C’était un slow qui en sourdine venait meubler l’espace de la pièce où ils se trouvaient. Sur un fauteuil, la pile de vêtements féminins, entassés restait accessible. La brune avait donc toujours la possibilité de reprendre ses fringues et de partir en courant. Elle ne fit rien. — Là ! C’est bien ma belle ! Tu es une bonne cocotte ! Agenouille-toi ! Ensuite tu ouvriras mon pantalon. J’ai envie que tu me suces, que tu sois en prière devant moi. Vas-y, à toi de jouer ! ce plaisir que tu espères tu dais aussi le mériter. Les yeux rivés sur la moquette, lajeune femme avait chaud partout. Et la voix, cette voix qui lui raisonnait dans le crâne, n’avait pourtant rien d’inquiétant. Lentement mais sûrement elle se laissa fléchir sur ses genoux. À vrai dire, elle n’avait plus la force de rester debout face à ce type qui lui murmurait des choses… horribles. Ces bras s’agrippèrent au torse de l’homme, lorsqu’elle se laissa descendre sur les rotules. Elle se retrouva les bras autour du bassin de Luigi. Il se recula d’un pas, simplement pour faciliter l’accès à la fermeture éclair qui maintenait son futal. Ce ne fut pas sans peine qu’elle trouva le système qui maintenait l’ensemble clos. Sans oser regarder, les paupières fermées, elle fit glisser la fermeture. Puis elle tira vers le bas les deux pans ainsi entrouverts. L’autre ne portait rien sous le bénard. Un sexe de taille moyenne surgit de sa cage de tissu. Il vint se tendre un peu plus alors que la jeune femme avait son visage tout ...