Ma femme, Helas... (1)
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
Erotique,
Longtemps, j’ai désiré que ma femme ait une relation sexuelle avec un autre homme. Non pas le désir d’un voyeur, mais simplement l’idée que je n’étais peut-être pas le meilleur amant, et qu’elle méritait de connaitre mieux. Nous nous sommes connues très jeunes, elle avait 16 ans, moi 18. C’était vraiment l’amour romantique, l’émoi des premiers baisers, la découverte petit à petit de l’autre. Nous habitions à 400 km l’un de l’autre, nous nous rencontrions que tous les quinze jours au mieux, le WE, un dimanche… Nous étions tous deux très studieux. Donc ces petites parenthèses amoureuses étaient notre rayon de soleil. Elle était très belle, tout le monde la voyait s’épanouir, j’en étais très fier. Quant à moi, j’étais le beau ténébreux, qui surprenait ses amies. Nous avons attendu deux ans pour vraiment faire l’amour. C’était comme un jeu, nous avons beaucoup ri ! Très rapidement, nous nous sommes mariés, les enfants sont venus, la vie s’est déroulée. Paisible, animée, joyeuse, assez rangée quand même. Elle est vraiment devenue une femme, resplendissante. Fine, 1m70, des jambes magnifiques… A la fois belle, très classe, mais aussi mutine, joyeuse avec les amis. Je peux dire qu’elle aimait vraiment séduire, voir le regard intéressé des hommes, les sentir pleins d’humour pour lui plaire, mais uniquement à titre de jeu. Je n’étais pas jaloux. Il me semblait évident, à moi, pour elle et pour eux, que les frontières étaient claires. Et d’ailleurs, elles n’ont jamais été franchies. ...
... C’est une femme très dynamique, franche et directe. Je peux dire que j’ai été son seul homme, comme elle a été ma seule femme. Mais cela nous donnait un peu de piquant ! D’un point de vue intime, nous étions très classiques. Rien de spécial justement. Une ou deux fois par semaine, assez rapidement. Dans le silence. Ce silence m’a toujours angoissé : j’entendais ses soupirs, son émotion, mais rien de plus après mon instant de plaisir. On s’essuyait –elle est sensible à la propreté - puis la nuit venait. Petit à petit, l’échange avec des amis, la vision de film, tous les témoignages auxquels la société moderne nous expose, ont fait naître un doute en moi : Est ce qu’elle se réalisait pleinement en tant que femme ? D’un certain point de vue, il me semblait que nos rapports étaient raisonnables, que les débauches qui nous étaient exposées n’étaient ni naturelles, ni souhaitables. Mais d’un autre côté, je pouvais penser au contraire qu’elle passait à côté d’émotions fortes et nécessaires, et que je prenais le risque que les découvrant peut –être un jour, elles détruisent notre union. Et aussi, parce que je l’aime profondément, il me semblait naturel qu’elle connaisse le meilleur. Cette idée est donc devenue de plus en plus prégnante dans mon esprit. Je me suis dit qu’il était souhaitable qu’elle connaisse un autre homme. Vous présenter cela d’une façon quasi clinique n’est pas tout à fait honnête. Car cette idée m’excitait aussi, je dois l’avouer. L’imaginer moins sage, l’imaginer ...