Deux roues pour une partie de jambes en l'air (2)
Datte: 07/06/2019,
Catégories:
Lesbienne
Le lendemain je me retiens d’appeler Mylène, je ne voudrais pas qu’elle croie que je m’incruste. Cependant j’ai bien aimé notre petite séance impromptue et je remettrai volontiers le couvert, dans un endroit plus confortable si possible. Je me contente de lui envoyer un petit texto coquin, comme ça elle a mon numéro. S’occuper d’animaux prend du temps et l’après midi file tout seul. Quand j’en ai terminé, je m’accorde une pause apéro et machinalement je regarde mon mobile. Il y a une réponse à mon texto : — Aujourd’hui pas possible, suis pas seule mais demain je vais faire le marché à T..., je t’emmène si tu veux, on pourra parler tranquillement. Chouette, on ira en voiture et j’en profiterai pour faire des provisions. Le lendemain elle est pile à l’heure et toute la matinée nous arpentons le marché où elle connaît tout le monde. Vers midi tout est rangé dans le coffre et nous soufflons devant un verre de St Bris bien mérité. — Dis, as tu quelque chose de programmé ce soir ? demande-t-elle. — Rien de précis, suis libre comme l’air. — Ca te dirait une soirée en boîte ? Charles (son mari) est sur une battue chez des amis, je suis donc libre. — Bonne idée. Aurais-tu un plan dans la tête ? — Peut-être... peut-être... répond-elle, énigmatique. La boîte en question étant à une trentaine de kilomètres, on convient qu’elle passe me chercher vers 22h30. Elle est fréquentée essentiellement par des locaux de tous âges qui s’y retrouvent dans une bonne ambiance, j’y suis allée 3-4 fois ...
... avec Lily. Vers 6h du mat’ le patron offre les croissants qu’on déguste au bord de la mare. Il fait encore beau, alors je ne fais pas trop de frais : débardeur multicolore sans soutien-gorge, vu mon absence de nichons, jupe ample noire et tennis. Finalement, après hésitation j’enfile un string, j’adore trop sentir la ficelle entre mes fesses. Peu avant 23h, un coup de klaxon m’avertit que mon carrosse est prêt. Surprise, il y a un garçon, la vingtaine, assis à côté d’elle et derrière, une des filles du restau, Fanny. Mylène me présente Julien, alias Juju, le petit copain de Fanny et en route. Comme on papote, le chemin ne semble pas long. Sur place, Gisèle décrète que c’est chacun pour soi. Nous allons au bar, les jeunes partent danser avec d’autres jeunes. Ici encore, Mymi connaît tout le monde, ça n’empêche pas quelques hommes de tenter maladroitement leur chance mais je ne peux pas leur en vouloir. On part danser, on discute, revient boire un verre, elle me présente des amis, on repart danser, on reprend un verre, bref la classique soirée en boîte. Mylène s’éclipse assez souvent et vers 4h passé me fait signe: — On va pas tarder à partir ! — OK, je suis le mouvement. — Avec les jeunes on va terminer à la maison... - me dit-elle avec un clin d’œil suggestif - mais je peux te déposer chez toi si tu préfères. — Non, non, je suis partante quoi qu’il arrive ! Faire plus ample connaissance avec Fanny me me déplairait pas, je sais que Mylène l’a déniaisée de ce point de vue. A la ...